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La nervosité a été très papable sur les marchés obligataires mondiaux au troisième trimestre. Les banques centrales ont relevé les taux de manière agressive en réaction à une inflation inédite depuis 50 ans, et l’aplatissement baissier des courbes de taux qui en a résulté n’a fait qu’aggraver les lourdes pertes déjà subies durant l’année.
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