Distinguer les gagnants potentiels des perdants à l’heure où le changement climatique transforme l’économie mondiale. De Yashica Reddy, Associate Product Manager chez Schroders
Le monde dans lequel nous vivons est en train de changer fondamentalement. L’innovation technologique, l’urbanisation, le changement climatique et la transition vers l’énergie propre sont en train de remodeler nos vies et la planète telle que nous la connaissons.
Au cours du séminaire intitulé Schroders Global Transformation Seminar 2019, plusieurs experts ont expliqué en détail aux participants comment ces thèmes imposent le rythme du changement, avec à la clé des opportunités d’investissement considérables pour ceux qui savent les débusquer.
D’un point de vue historique, Schroders a très rapidement considéré le changement climatique comme une opportunité thématique pour les investisseurs.
« Dès 2007, nous avons pensé que ce serait un moteur de changement puissant pour l’avenir », souligne Yashica Reddy, Associate Product Manager chez Schroders.
Le processus de changement climatique ne s’accélère pas qu’en apparence.
Un réchauffement de 1°C a déjà été pris en compte dans les scénarios actuels, auquel vient s’ajouter 0,5°C imputable aux émissions de gaz à effet de serre (GES) déjà libérées.
Tableau de bord de l’évolution du climat
Schroders a élaboré son climate progress dashboard (tableau de bord de l’évolution du climat) qui mesure l’évolution de plusieurs indicateurs au niveau mondial.
D’après ce tableau de bord, nous nous dirigeons actuellement vers une augmentation des températures de 3,8°C, compte tenu du niveau actuel des investissements dans la production de pétrole et de gaz.
L’Accord de Paris a établi un cadre mondial pour éviter un changement climatique dangereux en limitant le réchauffement de la planète à bien moins de 2°C.
Investir dans le changement climatique
Les principaux secteurs contribuant à cette évolution sont la production d’électricité à partir de sources non renouvelables (charbon, gaz, pétrole), l’agriculture, l’industrie et les transports.
« La lutte contre le changement climatique exige une réduction radicale des émissions de gaz à effet de serre (GES). « Nous devons regarder au-delà des sources évidentes de ces émissions », déclare Mme Reddy.
« Un scénario à deux degrés exige une réduction de 80 % des émissions de GES par habitant d’ici 2050, tout en sachant que ces émissions devront en définitive être réduites à zéro. »
Mais quels types d’efforts seront nécessaires pour limiter l’impact du changement climatique ?
Pour certaines des sources d’émissions, la voie vers la décarbonisation est claire.
Dans le secteur de l’énergie, les énergies renouvelables sont arrivées à maturité et, dans de nombreuses régions, leur coût est inférieur à celui de l’énergie produite au moyen combustibles fossiles. Sur le marché des véhicules de tourisme, la technologie des véhicules électriques mûrit rapidement.
« Bien que ces développements soient extrêmement encourageants, ils ne seront pas suffisants : nous devons nous attaquer sérieusement à toutes les sources d’émissions », déclare Mme Reddy.
Les émissions liées à l’alimentation, à la mode, à la vente au détail et aux voyages en avion sont quelques exemples de secteurs auxquels on n’a jusqu’ici guère prêté attention. Soit parce que ces émissions passaient plus inaperçues, soit parce qu’elles paraissaient impossibles à réduire.
Risques et opportunités
Il y a bien sûr des actifs « bloqués », refusant de s’adapter au changement climatique ou incapables de le faire, mais il existe aussi d’énormes opportunités pour les leaders de la durabilité.
Le fonds Schroder ISF1 Global Climate Change Equity se concentre sur les entreprises des cinq secteurs suivants : énergie propre, transport durable, efficacité énergétique, ressources environnementales et low carbon leader (leader de la décarbonisation).
En tant qu’investisseur sur le thème de la transformation mondiale, Schroders cherche à saisir toute une gamme d’opportunités d’investissement liées à la transition climatique.
La transformation mondiale chez Schroders
Pour plus d’informations sur le point de vue de Schroders sur les grands sujets liés à la transformation mondiale et sur notre stratégie d’investissement dans ce domaine, visitez la page www.schroders.com/globaltransformation
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[1] Schroder ISF désigne le Schroder International Selection Fund
Facteurs de risqué :
Risque de pays pour la Chine : les modifications d’ordre politique, juridique, économique ou fiscal en Chine peuvent donner lieu à des pertes ou des coûts plus élevés pour le fonds.
Risque de contrepartie : la contrepartie d’un instrument dérivé ou d’un autre accord contractuel ou produit financier synthétique peut se trouver dans l’incapacité d’honorer ses
engagements envers le fonds, créant potentiellement une perte partielle ou totale pour le fonds.
Risque de change : le fonds peut être exposé à différentes devises. Les variations des taux de change peuvent entraîner des pertes.
Risque lié aux instruments dérivés : un instrument dérivé peut ne pas se comporter comme prévu et entraîner des pertes plus importantes que le coût de l’instrument dérivé.
Risque lié aux marchés émergents et marchés frontières : les marchés émergents, et notamment les marchés frontières, comportent généralement un risque politique, juridique, de contrepartie et opérationnel accru.
Risque lié aux actions : les cours des actions fluctuent sur une base journalière, en fonction de plusieurs facteurs, don’t notamment des informations d’ordre général, économique, sectoriel ou relatives à la société.
Risque lié à l’effet de levier : le fonds utilise des instruments dérivés à des fins d’effet de levier, ce qui le rend plus sensible à certaines fluctuations de marché ou de taux d’intérêt et peut entraîner une volatilité supérieure à la moyenne et un risque de perte.
Risque de liquidité : dans des conditions de marché difficiles, le fonds peut être dans l’incapacité de vendre un titre à sa vraie valeur ou de le vendre tout simplement. Ceci pourrait peser sur la performance et obliger le fonds à différer ou suspendre les rachats de ses actions.
Schroder International Selection Fund SICAV Global Climate Change Equity 1
Risque opérationnel : des défaillances au niveau des prestataires de services peuvent entraîner des perturbations dans les transactions des fonds, voire des pertes.
Information importante : Schroder International Selection Fund (la «Société») est une Société d’Investissement à Capital Variable (SICAV) de droit luxembourgeois à durée illimitée et est coordonnée au regard de la réglementation européenne. La Société répond aux critères des Organismes de Placement Collectif en Valeurs Mobilières (OPCVM).
Aucune information ou affirmation personnelle contenue dans ce document ne constitue un conseil en investissement. Les souscriptions des actions de la Société ne peuvent être effectuées que sur la base du prospectus en vigueur, accompagné du document d’informations clés pour l’investisseur et du dernier rapport annuel audité de la Société (ainsi que de tout rapport semestriel non-audité si celui-ci a été publié ultérieurement). Ces documents doivent être lus avant la souscription. Des exemplaires de ces documents peuvent être obtenus gratuitement auprès de Schroder Investment Management (Europe) S.A. ainsi que sur le site internet suivant www.schroders.be et auprès du service financier en Belgique; CACEIS Belgium SA, Avenue du Port/Havenlaan 86C, Box 320, B-1000 Bruxelles. Le prospectus, le dernier rapport annuel audité ainsi que tout rapport semestriel non-audité si celui-ci a été publié ultérieurement de la SICAV sont disponibles en langue anglaise et peuvent être obtenus gratuitement auprès de Schroder Investment Management (Europe) S.A., auprès du service financier en Belgique, CACEIS Belgium SA, Avenue du Port/Havenlaan 86C, Box 320, B-1000 Bruxelles et sur le site internet suivant www.schroders.be Le document d’informations clés pour l’investisseur est également disponible en langue française et néerlandaise auprès du service financier en Belgique, CACEIS Belgium SA, et sur le site internet www.schroders.be ».
La publication de toutes les valeurs nettes d’inventaire apparaît sur le site internet de l’Association Belge des Asset Managers (Belgian Asset Manager Association – BEAMA) www.beama.be. Les valeurs nettes d’inventaire sont également disponibles auprès du service financier belge.
Par ailleurs, les grilles tarifaires sont disponibles auprès des distributeurs en Belgique. Tout investissement dans la Société comporte des risques qui sont définis de manière plus détaillée dans le prospectus.
La valeur nette d’inventaire et les montants distribués au titre des actions émises par la Société peuvent aussi bien augmenter que diminuer et il est possible qu’un investisseur ne récupère pas la totalité de son investissement. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas nécessairement constantes dans le temps. Des fluctuations de taux de change peuvent avoir une influence à la hausse comme à la baisse sur tout investissement dans des devises étrangères.
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La taxe sur opérations de bourse d’un taux de 1,32 % (avec un maximum d’EUR 4.000 par transaction) est due sur les opérations de rachat et de conversion d’Actions de capitalisation lorsqu’elles sont réalisées à l’intervention d’un intermédiaire professionnel en Belgique.
Les dividendes distribués par la Société à des investisseurs personnes physiques résidentes fiscales belges sont soumis à un précompte mobilier belge de 30% lorsque ceux-ci sont distribués à l’intervention d’un intermédiaire financier établi en Belgique (cette information est valable pour les actions de distribution). Si ces dividendes sont perçus par de telles personnes sans l’intervention d’un intermédiaire financier établi en Belgique, celles-ci doivent mentionner le montant des dividendes reçus dans leur déclaration fiscale et sont imposées sur ce montant au taux de 30%.
En cas de rachat ou de vente d’actions d’un compartiment investissant, directement ou indirectement, soit (i) plus de 25% de ses actifs en créances en ce qui concerne les actions acquises par l’investisseur avant le 1er janvier 2018, soit (ii) plus de 10% de ses actifs en créances en ce qui concerne les actions acquises par l’investisseur à partir du 1er janvier 2018 (pour autant, dans chacun de ces deux cas, que certaines conditions additionnelles soient remplies), la composante intérêts de ce prix de rachat ou de vente est soumise à une taxation de 30% en Belgique.
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