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Les investisseurs privés en Belgique sont devenus légèrement plus optimistes quant au climat d’investissement. Tel est ce qui ressort du Baromètre ING du mois de mars. Le baromètre des investissements reste à son niveau neutre de 100 points, car les attentes du marché sont également prudentes. 

Parmi les investisseurs privés interrogés, 63 % tiennent compte du climat d’investissement actuel dans la composition de leur portefeuille. L’évolution favorable de la performance au premier trimestre a contribué à la légère amélioration de la confiance des investisseurs. La dernière fois que le baromètre se trouvait à 100 points était en septembre 2018. 

Amélioration de la situation financière

Dans son analyse des résultats du baromètre des investissements, ING montre que le sentiment s’améliore, car le redressement des prix au premier trimestre a également aidé les ménages à améliorer leur situation financière. Cependant, pas moins de 25% des investisseurs privés déclarent que leur situation s’est effectivement améliorée, le pourcentage le plus élevé depuis avril 2015. 

22 % des personnes interrogées s’attendent à ce que la situation financière de leur famille s’améliore encore davantage ; toutefois, 16 % pensent qu’elle va se détériorer. En ce qui concerne les attentes pour les trois prochains mois, 24% tablent sur une nouvelle hausse des cours et 31% sur une correction. En conséquence, les investisseurs privés affichent majoritairement un intérêt sélectif en termes d’actions et secteurs. 

Dans ce Baromètre ING, 28 % des personnes interrogées ont ainsi déclaré que c’était le moment idéal pour investir dans des secteurs moins risqués. 

Changement climatique

L’enquête demandait également aux investisseurs privés ce qu’ils pensaient du changement climatique. Pas moins de 80% partageaient l’opinion selon laquelle la terre se réchauffe et 70% pensaient que l’homme joue un rôle central à cet égard. Parmi les personnes interrogées, 63 % déclaraient que la durabilité intervient dans leurs décisions quotidiennes, tandis que 63 % affirmaient que le thème du réchauffement climatique devrait être pris en compte dans la composition du portefeuille. En juillet 2018, ce chiffre était encore de 55 %. Les investisseurs plus âgés, en particulier, sont maintenant plus sensibles à cette considération que l’an dernier.

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