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BNY Mellon IM a lancé un nouveau fonds thématique, qui investit dans des entreprises impliquées dans les innovations en matière de soins de santé et le développement de médicaments. D’autres nouveaux fonds sont proposés par Kempen et CoinShares. 

Le BNY Mellon Smart Cures Innovation Fund investit dans des entreprises mettant au point des traitements avancés basés sur la thérapie génique, l’édition génomique et la modulation de l’expression génique. Le fonds thématique est géré par la filiale Mellon et s’adresse aux investisseurs institutionnels et intermédiaires dans des pays comme les Pays-Bas et la Belgique.

Les gérants du fonds, Amanda Birdsey-Benson, PhD et Matthew Jenkin, sont des investisseurs et négociants expérimentés. Selon eux, nous sommes à l’aube de l’ère de la ‘Biotechnologie 2.0’, alimentée par une ‘inflexion technologique révolutionnaire’ vouée à se poursuivre. 

Selon Birdsey-Benson et Jenkin, les nouvelles catégories de médicaments représentent le segment de l’industrie biopharmaceutique qui connaît la plus forte croissance. « En outre, elles métamorphosent l’approche des soins de santé, qui va maintenant plus loin que le simple traitement des symptômes pour s’attaquer à la cause profonde de la maladie, avec comme objectif un éventuel remède. »

Crypto-tracker

CoinShares, le gestionnaire de crypto-actifs qui compte 3,5 milliards de dollars sous gestion, a lancé un tracker adossé au bitcoin. Ce CoinShares Physical Bitcoin ETP (GB00BLD4ZL17) est coté sur la bourse suisse depuis la semaine dernière et a déjà attiré 200 millions de dollars d’actifs, déclare Frank Spiteri, chief revenue officer. 
Spiteri parle d’une ‘nette augmentation du volume’ d’argent institutionnel alloué au bitcoin au cours des trois derniers mois. « Le volume boursier confié est passé de 50 % à 60 % du volume total. »

Distressed debt

Chez Kempen Capital Management, un nouveau pool, le Diversified Distressed Debt Pool, est disponible depuis début janvier. Le pool donne accès à des fonds contenant les titres de créance d’entreprises en difficulté financière ou opérationnelle, en faillite ou en cessation de paiements. Le pool a une structure ouverte, qui permet aux investisseurs d’entrer dans le pool chaque mois et d’en sortir chaque trimestre. 

Remko van der Erf, de la division Alternative Strategies chez Kempen, considère les dettes en difficulté comme une catégorie prometteuse pour l’après-crise, car il s’agit d’un phénomène cyclique. « Les fonds constituent un filet de sécurité pour les entreprises trop endettées. »

Le pool est un compartiment de Kempen Alternative Investment Fund SICAV, basée au Luxembourg.
 

 

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