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Dix années tout juste après la faillite de la banque d’affaires américaine Lehman Brothers, le 15 septembre 2008, généralement considérée comme le début de la crise financière mondiale, l’indice MSCI World culmine à un plafond historique. Mais quels sont les gagnants et les perdants dans le paysage boursier d’après-crise ?

Depuis fin 2008, le MSCI World (dividendes inclus) s’est adjugé 236 %. Il a atteint son plus bas niveau depuis la crise le 9 mars 2009, après avoir cédé 53,1 % par rapport à son sommet. 

Depuis, l’indice mondial a entamé un redressement impressionnant. Les marchés d’actions américains ont enregistré la plus forte progression. « Ils ont en moyenne gagné 326 % », indique le stratégiste Taoufik Boussebaa.

La pondération des titres nord-américains est ainsi passée de 50 à 55 % environ.  

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« Parmi les autres fleurons régionaux de l’indice figurent notamment la Thaïlande (+468 %), les Philippines (+338 %), le Danemark (+328 %) et la Nouvelle-Zélande (+307 %). »

En revanche, la Turquie (+12,3 %), le Portugal (+14,2 %), le Maroc (+14,5 %) et l’Italie (+32,3 %) ont fait moins belle figure, tandis que la Grèce (-91 %) endossait le rôle de cancre.

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