Image
cover
Access
Limited

Pas moins de 70 % de la population belge adulte utilise son compte d’épargne comme instrument d’investissement. C’est ce qu’il ressort d’une grande enquête du spécialiste de la gestion d’actifs Schroders réalisée auprès de 1.000 Belges1. Mais la faiblesse du taux d’épargne pousse de plus en plus d’épargnants à chercher des investissements alternatifs. En outre, de plus en plus de femmes trouvent le chemin des investissements alors que, précédemment, c’était plutôt réservé aux hommes.

Quiconque dispose d’un capital sur compte d’épargne recherche aujourd’hui activement des alternatives permettant de doper le rendement de son épargne. La raison ? Le rendement actuel dérisoire des comptes d’épargne.

Les capitaux déposés sur les comptes d’épargne sont pourtant énormes. Pour 70 % des adultes belges, le compte d’épargne classique représente l’instrument d’investissement par excellence, c’est ce qui ressort de l’enquête réalisée par Schroders, spécialiste international de la gestion d’actifs. Parallèlement, pour 54,4 % des personnes interrogées, les fonds semblent représenter une alternative attractive au compte d’épargne.

L’investissement dans les fonds a le vent en poupe. Il ressort de l’enquête que 41 % des personnes interrogées âgées de 18 à 34 ans font part de leur intention d’investir dans les fonds, un chiffre bien supérieur à la moyenne des répondants (28 %).

Un petit tiers des personnes interrogées (28 %) investit déjà en actions d’entreprises cotées, alors qu’une minorité (8 %), détient des obligations d’État ou d’entreprise.

L’enquête de Schroders s’est également penchée sur le chemin préféré aujourd’hui pour investir dans les fonds. Les répondants avaient la possibilité d’indiquer plusieurs options. Aujourd’hui, les investisseurs recourent principalement à leur banque (87,8 %) et à la bourse, avec ou sans l’assistance de tiers (38,8 %). Les fonds de pension, avec 38 %, sont également très populaires.

De plus en plus de femmes investissent

D’un point de vue historique, ce sont surtout les hommes qui s’occupent des finances familiales. Cette affirmation ne se vérifie plus aujourd’hui. De plus en plus de femmes se sentent à l’aise avec les investissements. 28 % des femmes interrogées indiquent leur intention, probable ou certaine, d’investir dans les fonds au cours des 12 prochains mois, contre 28 % des hommes interrogés.

La transition énergétique, un thème d’investissement populaire

L’enquête de Schroders montre que les personnes interrogées souhaitent investir principalement dans les entreprises actives dans la transition énergétique. 33 % déclarent vouloir investir dans ce type d’entreprise. La transition énergétique se trouve au cœur de l’actualité. Il suffit de penser à l’augmentation du prix de l’essence, du diesel et du gaz et de la recherche d’énergies alternatives afin de réduire notre dépendance au gaz et au pétrole russes. Le secteur pharmaceutique représente un deuxième thème d’investissement populaire (20 %). Alors que 19 % déclarent que la nature de l’entreprise ne revêt pas une grande importance pourvu que l’investissement rapporte.

L’avenir appartient aux grandes villes, mais il reste beaucoup à faire

La population des grandes villes ne cesse de croître. Aujourd’hui, 4,2 milliards d’habitants de notre planète vivent dans une grande ville et, en 2050, ce chiffre pourrait grimper à 6,7 milliards. L’aménagement et la modernisation des grandes villes (notamment en matière d’infrastructures, de TIC, d’incidence climatique, de sécurité et de qualité de vie) offrent d’intéressantes opportunités aux investisseurs. Les Belges interrogés par Schroders ne sont pas encore conscients de ces défis et moins de 50 % d’entre eux considèrent les grandes villes comme thème d’investissement éventuel. Mais lorsque les enquêteurs ont un peu creusé le sujet, il s’est avéré que trois quarts des personnes interrogées se disent d’accord avec l’affirmation qu’il y a une urgence relative à prendre à bras-le-corps la gestion des villes et que les effets devraient être visibles dans les 20 ans. Ce sont surtout les Belges francophones qui se sont montrés sensibles à ce thème.

Quel montant les gens sont-ils disposés à investir dans les fonds ?

En moyenne, les personnes interrogées ont l’intention d’investir, dans les 12 prochains mois un montant de 17 997 euros dans les fonds. Mais la majorité (18 %) déclare vouloir dépenser moins de 2.500 euros. Le montant moyen à investir semble assez élevé ; cela vient du fait que 1 % des personnes interrogées a déclaré vouloir investir plus de 200 000 euros dans des fonds.

« La situation actuelle tempère l’envie d’investir, nous ne pouvons rien y faire. Mais lorsque nous proposons l’option des fonds, nous constatons un grand intérêt pour la transition énergétique, le secteur pharmaceutique et les entreprises qui placent le développement durable au centre de leurs préoccupations. À l’avenir, l’investissement dans la modernisation et l’adaptation des grandes villes offrira également des opportunités intéressantes », déclare Wim Nagler, Directeur des Ventes Belgique & Luxembourg chez Schroders.

« Même si les consommateurs restent prudents, ils sont à la recherche d’informations sur le contenu des produits d’investissement et semblent même disposés à découvrir les fonds. L’adéquation des fonds proposés aux valeurs de l’investisseur représente un prérequis important – davantage pour les femmes que pour les hommes – de même que pouvoir s’appuyer sur le conseil avisé d’un spécialiste suffisamment crédible », ajoute Marie-Noëlle De Greef, Consultante Senior chez Schroders.

cover

 

1AQ Rate a réalisé en avril 2022, pour le compte du spécialiste de la gestion d’actifs Schroders, une enquête auprès de 1.000 Belges âgés entre 18 et 70 ans sur les habitudes des familles belges dans la gestion de leur budget et de leurs investissements.

Partner
Active for advertorial
Off
Active for website
On