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Schroders: En quoi les gestionnaires d’actifs peuvent vous aider à atteindre vos objectifs de revenu
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Un revenu fiable est beaucoup plus difficile à obtenir aujourd’hui qu’hier. Schroders analyse ici les raisons de cette situation et explique comment les gestionnaires d’actifs peuvent aider les investisseurs à générer un revenu durable supérieur.



Le revenu est l’un des principaux objectifs de nombreux investisseurs. Qu’il s’agisse de générer un revenu pour sa retraite, pour régler des frais scolaires ou simplement pour obtenir une performance satisfaisante, de nombreuses personnes estiment que revenu est l’un des principaux objectifs qu’elles souhaitent atteindre lorsqu’elles investissent.En revanche, de nombreuses personnes surestiment le potentiel de performance de leurs placements actuels. Sachant que les taux d’épargne bancaire se situent à des points bas historiques, les investisseurs ont besoin de l’aide d’un expert pour obtenir des revenus supérieurs fiables générés à partir d’autres sources.Il était autrefois facile d’obtenir un revenu fiable.



Historiquement, les personnes originaires des pays développés qui cherchaient à tirer un revenu de leur épargne déposaient leur argent sur un compte d’épargne ou achetaient des emprunts d’État. Il est facile de comprendre pourquoi : à titre d’exemple, les taux d’intérêt nominaux au Royaume-Uni s’établissaient entre 11 et 12 % pendant la plupart des années 1980, et à un niveau supérieur à 5 % de 1990 à 2008.



Pourquoi ces sources n’offrent plus de revenu attractif ?

La crise financière mondiale (CFM) a entraîné des changements sans précédent qui ont sans doute sonné le glas de ces produits d’épargne comme seule source de revenu.L’effondrement de la croissance et l’assèchement du crédit ont forcé la main des banques centrales. Les taux d’intérêt ont été ramenés à des points bas record dans le but d’encourager les banques à prêter et à relancer l’économie. Par ailleurs, de nombreuses banques centrales ont lancé des programmes d’assouplissement quantitatif (QE) afin d’abaisser encore davantage les taux et de doper la liquidité. Dans le cadre du QE, les banques centrales ont acquis essentiellement des emprunts d’État, stimulant ainsi les cours des obligations. Ces derniers et les rendements obligataires étant inversement corrélés, les rendements des obligations ont chuté à des plus bas historiques. En conséquence, les emprunts d’État ne proposent plus le niveau de revenu qu’ils offraient autrefois. Pour remettre les choses en perspective, les obligations japonaises à 30 ans affichent un rendement de 0,85 % ce qui est loin d’être un revenu attractif pour un placement à 30 ans. Sans surprise, la chute des taux de base a pesé sur les taux offerts par les banques. Cet impact est évident : le taux d’intérêt moyen des comptes d’épargne est de 1,23 % au Royaume-Uni et de 0,06 % seulement aux États-Unis.Ce qui aggrave la situation, c’est que ces taux sont des rendements nominaux. En tenant compte d’une inflation se situant actuellement au Royaume-Uni à 3,0 % (2,2% aux États-Unis), la performance ajustée de l’inflation d’un grand nombre, voire de la totalité, des comptes est négative. En d’autres termes, l’argent placé en banque a vu sa valeur baisser.



Les taux d’intérêt commencent à augmenter

L’économie mondiale s’est redressée depuis la CFM, en conséquence de quoi les taux d’intérêt ont commencé à augmenter dans de nombreux pays. Les États-Unis occupent la première place, mais les autres pays suivent derrière.



Les bilans des banques centrales gonflés par le QE diminueront également dans un futur proche. Les banques centrales réduiront le réinvestissement des produits des titres de créance arrivés à échéance et commenceront à réduire leurs achats obligataires. De ce fait, l’épargne bancaire pourrait redevenir intéressante à mesure que les taux augmentent, tout comme les emprunts d’État dont les rendements commencent à progresser.



Les taux historiques n’étaient pas à un niveau « normal »

En revanche, le relèvement des taux d’intérêt ne devrait pas être excessif. Les changements devraient être progressifs, ce qui signifie que les taux demeureront exceptionnellement bas sur des bases historiques récentes. Plus important encore, les investisseurs attendant un retour à la « normale » des taux de base et des rendements obligataires, à savoir à un niveau élevé, seront probablement déçus. En fait, les taux d’intérêt observés entre 1970 et 2008 doivent être considérés comme fortement anormaux dans une perspective de long terme, comme indiqué ci-après .Compte tenu de mutations profondes, à l’image de la situation démographique et de la productivité, il est peu probable que les taux renouent avec des niveaux qui génèreront un revenu suffisant pour les investisseurs ayant recours à l’épargne liquide.

Taux dínteret de certains marches developpes

 

Des taux qui ne devraient pas répondreaux besoins des clients

Des taux qui ne devraient pas répondreaux besoins des clients


 

Les gestionnaires d’actifs offrent un large éventail de solutions de revenu



Les individus doivent jeter leurs filets dans les classes d’actifs plus risquées afin d’obtenir un revenu supérieur. Parmi ces classes d’actifs, citons notamment les actions, les obligations d’entreprises, l’immobilier et les solutions multi-actifs. En revanche, ces actifs sont souvent peu connus et comportent différents risques que les individus ne seront probablement en mesure de gérer eux-mêmes.



Rendement courant et volatilte des classes dés actifs

 

Il est en effet difficile pour un individu de générer un revenu durable. À titre d’exemple, il est facile d’acheter une action offrant un rendement du dividende de 4 %, mais que faire si la société réduit son dividende ? Et si le cours de son action baisse ?



Un gestionnaire d’actifs peut vous aider en vous proposant des solutions qui vous permettent d’accéder à ces actifs plus rémunérateurs, tout en vous aidant à gérer les risques courus.

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