Conseiller sous Mifid II : un challenge

Mifid II contraint les conseillers des banques à accompagner encore mieux les clients lors de leurs choix d’investissement. Par ailleurs, le profil de risque requiert de la part de la majorité des investisseurs particuliers une très nette surpondération des obligations. (La tâche n’est) Pas facile à une époque où les taux montent et où les marchés d’actions ont le vent en poupe. Dirk Thiels, stratège senior chez KBC, révèle à Investment Officer comment la banque (s’y prend) gère la situation.