L’indice de volatilité VIX a atteint en février son niveau le plus élevé en trois ans. Le marché a-t-il connu un changement fondamental, ou s’agit-il simplement d’une modification temporaire ? Les investisseurs doivent‑ils s’inquiéter ? Comment doivent-ils positionner leurs portefeuilles ? Lyxor cherche des réponses dans « Investing under a higher volatility regime ».
Le rapport fait partie des trente rapports et visions du marché chargés dans l’outil d’analyse IO la semaine dernière par une équipe de spécialistes en données d’Investment Officer. Actuellement, cet outil comporte plus de 7 000 rapports issus de plus de 50 gestionnaires d’actifs.
Candriam se demande quel est le point commun entre l’Angola, l’Irak et l’Équateur. Tous trois appartiennent à la catégorie restreinte de pays dont on attend des performances supérieures à la moyenne au fur et à mesure que l’économie mondiale se rétablira. Lisez l’analyse de Candriam (en NL) : Is er nog toekomst voor groeilandobligaties?
Selon Lyxor France, les ETF ont derrière eux l’une de leurs périodes les plus favorables. Au cours des premières semaines de 2018, l’afflux était phénoménal : 13,4 milliards de dollars en janvier. Une régression s’est ensuite produite, mais les perspectives restent bonnes pour le reste de l’année. Ce sont surtout les actions qui ont eu le vent en poupe. Lisez : ETFs enjoy their best ever start to a year.
Axa Investment Managers analyse dans quelle mesure le marché haussier pour les actions des marchés émergents n’en est qu’à ses débuts. Les rendements pour 2016 et 2017 ont respectivement été de 11,2 et 27,3 pour cent pour l’indice MSCI Marchés émergents. Ces chiffres sont à comparer aux performances décevantes de 2010 à 2015 inclus : -22 pour cent cumulés. Mais selon Axa Investment Managers, les choses se présentent bien pour la période à venir. Lisez : Has the EM bull run only just begun?
Enfin, State Street Global Advisors a publié un livre blanc intéressant : Harnessing ESG as an Alpha Source in Active Quantitative Equities. Les facteurs ESG y sont perçus comme une source d’alpha.