Les obligations d’entreprises concurrencent les titres d’État comme valeurs refuges

Les obligations émises par des entreprises de renom sont-elles aussi sûres que les obligations d’État ? De plus en plus d’investisseurs semblent en être convaincus, comme en témoignent les faibles différences de taux d’intérêt entre, par exemple, les emprunts de Microsoft et les bons du Trésor américain ou entre ceux d’AXA et les obligations d’État françaises.

L’Inde sur le radar des investisseurs du fait de sa dynamique atypique

L’Inde suscite à nouveau l’intérêt des investisseurs internationaux. La demande intérieure, la numérisation rapide et la profondeur du marché des capitaux confèrent au pays une résilience que peu de grandes économies peuvent égaler. Les spécialistes des marchés émergents affirment que ces qualités sont de plus en plus pertinentes pour les portefeuilles diversifiés.

Les investisseurs préfèrent les actions des pays émergents aux actions américaines en 2026

La plupart des grands gestionnaires d’actifs sont très optimistes quant aux perspectives des actions en 2026, en particulier celles des marchés émergents. Les actions américaines restent une pierre angulaire stratégique, tandis que l’Europe et le Japon jouent un rôle moindre mais croissant dans la répartition géographique.

BNP Paribas Wealth Management choisit de se concentrer sur six thèmes pour 2026

BNP Paribas Wealth Management a identifié plusieurs thèmes d’investissement majeurs pour 2026. L’essor de l’IA, la pression croissante sur les ressources naturelles et le dynamisme de l’Asie redéfinissent notamment les opportunités pour l’année à venir.

La résilience des marchés financiers, grande surprise de 2025

De nombreuses sociétés de fonds considèrent le jour de la Libération, lors duquel le président Donald Trump a annoncé une forte augmentation des droits de douane américains, comme le moment le plus surprenant de l’année 2025, selon l’Investment Officer Outlook Survey 2026. Mais ce qui a encore plus surpris les gestionnaires d’actifs, c’est que les marchés ont repris leur cours normal dans les mois qui ont suivi, comme si de rien n’était.

Modernisation : Van Lanschot Kempen choisit Alto, la solution d’Amundi

Van Lanschot Kempen remplace sa plateforme d’investissement par Alto, la solution d’Amundi, afin de simplifier les processus et d’augmenter l’évolutivité. Ce choix s’inscrit dans le cadre d’une évolution plus large dans laquelle les gestionnaires d’actifs européens cherchent des alternatives aux systèmes américains dominants.

Joachim Klement, stratège boursier : « Chaque choc géopolitique a ses gagnants »

Les années 2020 semblent bien parties pour devenir la « décennie géo-économique », écrit Joachim Klement, directeur général de la banque d’investissement Panmure Liberum. Le commerce mondial, la défense et les alliances politiques sont en pleine restructuration. Investment Officer a parlé au stratège allemand des implications pour les marchés financiers.

Chez Natixis, le débat sur les critères ESG divise Paris et le Texas

L’investissement ESG est peut-être politiquement sensible, mais selon les nouveaux chiffres d’Invesco, l’argent continue d’y affluer. Le Media Summit de Natixis IM, qui s’est tenu à New York en novembre, a démontré une fois de plus à quel point les opinions sur le sujet sont désormais divisées des deux côtés de l’Atlantique.

Milleis Banque Privée mise sur la diversification pour 2026

Milleis Banque Privée anticipe un scénario proche de 2025 pour l’année 2026 : une croissance mondiale modérée et une désinflation. Dans un contexte encore volatil, la diversification reste le maître-mot. Dans ce contexte, elle prévoit de diminuer la part des placements de trésorerie au profit des obligations cotées et non cotées, et de diversifier ses portefeuilles côté actions.

Alexandre Goldwasser constate une nette préférence pour les obligations à court terme

Avec la stabilisation des taux d’intérêt et le ralentissement de l’inflation, le marché obligataire retrouve un rôle plus classique de source de rendements prévisibles. Les investisseurs s’intéressent particulièrement aux échéances plus courtes, explique Alexandre Goldwasser.