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De bonnes surprises apportées par l’impact colossal de l’intelligence artificielle, le renouveau de la Chine, une BCE plus déchaînée que jamais, la menace silencieuse des taux longs américains : voici quelques-unes des surprises que nos chroniqueurs et experts néerlandais et belges estiment possibles en 2025.

Le régulateur financier luxembourgeois vient d’adopter une infrastructure cloud souveraine combinée à l’intelligence artificielle (IA).

Le développeur de logiciels de gestion d’entreprise Odoo, la société de l’entrepreneur wallon Fabien Pinckaers, vient de lever 500 millions d’euros. De grands noms tels qu’Alphabet (Google), Sequoia Capital et BlackRock entrent au capital.

Asset managers are scrambling to rebrand their sustainable investment funds as stepped-up regulatory crackdowns on greenwashing risk deepening fragmentation in the industry, experts warned at the Morningstar Sustainalytics conference in Amsterdam.

NATO’s top military commander, admiral Rob Bauer, has urged the European Investment Bank (EIB) to expand its support for the defence sector, pointing out that the EIB’s current restrictions limit Europe’s security capabilities at a critical time.

In a move set to shake the corridors of Washington, president-elect Donald Trump has appointed Tesla’s CEO Elon Musk and entrepreneur Vivek Ramaswamy to lead a new «Department of Government Efficiency,» or DOGE.

Luxembourg startups Vinesia and Ignisign this week head to Lisbon’s Web Summit, showcasing innovative solutions in fine wine investment and secure e-signatures amid Europe’s bustling tech scene.

The Luxembourg financial regulator, the Commission de Surveillance du Secteur Financier (CSSF), has issued administrative fines to five alternative investment fund managers for failing to comply with anti-money laundering and counter-terrorism financing (AML/CFT) regulations.

Cela peut paraître difficile à croire, mais le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche pourrait constituer une bonne nouvelle pour les marchés obligataires européens. Alors que les investisseurs américains se préparent à un regain de protectionnisme et à des risques d’inflation accrus, le marché obligataire européen affiche des signes de résilience, voire d’attractivité.

Après l’échéance du bon d’État à un an, qui avait été véritablement plébiscité, KBC a vu affluer 6,5 milliards d’euros, soit plus que les 5,7 milliards d’euros qui avaient quitté ses caisses pour être investis dans ce bon il y a un peu plus d’un an.