« Nous sommes défensifs, très défensifs. »

« Au cours du premier semestre, nous avons assisté à une transition du troupeau entier vers quelques mâles alpha. Un nombre limité de titres a propulsé le marché boursier vers le haut. Pour l’instant, nous maintenons notre position défensive. Nous attendons d’abord la confirmation concrète d’une réelle récession avant d’oser penser de manière plus contracyclique », déclare Tom Simonts, économiste chez KBC.

« Les investissements ESG subissent un déséquilibre entre offre et demande »

 

« Si l’économie et les marchés boursiers se sont montrés résilients au premier semestre, nos prévisions tablent sur un affaiblissement au second. Les investissements ESG sont une valeur sûre, mais font toujours face à quelques défis », déclare Mahmood Pradhan, Global Head of Macro chez Amundi Asset Management.

Les indices américains ont une tête d'eau. Et alors ?

La société boursière Nasdaq va réduire le poids des géants de la technologie au sein de l’indice par un «rééquilibrage spécial». En attendant, les spécialistes s’écharpent sur la pertinence de la concentration de l’indice.

La hausse de l’intelligence artificielle oblige le Nasdaq à réduire la concentration des géants de la technologie sur le marché avant la fin du mois. Les sept plus grandes entreprises de l’indice Nasdaq-100 représentent plus de la moitié de la valeur de l’ensemble de l’indice, ce qui est contraire aux règles.

Les familles belges plus riches de 22 milliards d'euros au Q1

Les familles belges sont devenues plus riches de plus de 22 milliards d’euros au premier trimestre de l’année, et les bonnes performances des marchés boursiers n’y sont pas pour rien. 

C’est ce que révèlent les chiffres de la Banque nationale de Belgique. 

Les actifs financiers des particuliers belges ont atteint 1 500,8 milliards d’euros au premier semestre 2023, en partie grâce aux plus-values sur les fonds d’investissement et les actions cotées. 

Rates remain high for longer, hurting commercial real estate

Hopes in the commercial real estate sector that central banks would lower interest rates due to declining inflation have been dashed. Interest rates are staying high for longer, causing problems, particularly for those who borrowed heavily during the market boom to fuel growth and who now face the burden of refinancing their debt.

DPAM en tête du top 5 des actions internationales

Après avoir progressé de plus de 6 % au deuxième trimestre de 2023, le MSCI World s’est royalement octroyé une avance de 12,58 % sur le premier semestre. L’apaisement graduel de l’inflation, les résultats honorables des entreprises et l’espoir de voir le cycle de resserrement monétaire arriver petit à petit à son terme ont fait passer au second plan les craintes relatives à la solidité des banques régionales américaines, la pérennité des financements immobiliers et les ratés de la croissance économique en Chine.

Baromètre des investisseurs ING: La quasi-totalité des investisseurs pensent que la guerre affectera les rendements

Le baromètre ING des investisseurs a un nouvelle fois légèrement augmenté en juin et dépasse à présent (de peu) son niveau neutre. Pour autant, les investisseurs restent indécis quant à l’évolution économique et des marchés. Ainsi, il y a une égalité presque parfaite entre les investisseurs pensant que la bourse va progresser, va corriger ou va rester stable dans les trois prochains mois. De même, s’il y a plus de répondants pour penser que la période actuelle est propice à l’achat d’obligations, près de quatre répondants sur dix sont indécis.

‘La hype de l'IA rappelle 1999’

« Nous sommes neutres sur les actions par rapport aux obligations, avec une surpondération sur les États-Unis. Par conséquent, nous sommes surpondérés sur les secteurs de la technologie et des télécommunications. En ce qui concerne l’intelligence artificielle, nous sommes avant tout pragmatiques », déclare Steven Vandepitte, stratège chez ING Belgique.

Stewart Investors en tête du top 5 des actions européennes de grande capitalisation mixtes non cycliques

Les tensions géopolitiques, l’inflation très élevée, la hausse des taux et le ralentissement de l’activité économique sont autant de raisons d’opter pour des investissements moins cycliques. Mais la distribution de ces titres n’est pas aussi tranchée qu’on le pense.