Possible semaine boursière volatile en raison des inquiétudes concernant le Credit Suisse

Tous les yeux des marchés financiers sont tournés vers le Credit Suisse, la banque d’affaires suisse qui a connu des temps difficiles. Le prix de son action, par exemple, est inférieur aux niveaux de 2008, lorsque les institutions financières du monde entier étaient également en grande difficulté en raison de la faillite de plusieurs banques, dont Lehman Brothers le 15 septembre.  

Les investisseurs sont inquiets, comme en témoignent les swaps sur défaillance de crédit qui se situent à des niveaux similaires à ceux de 2008 pour le Credit Suisse.

Tough days ahead for BEPS 2.0 as Ecofin meets

The OECD’s latest global tax plan is in trouble. Dubbed “BEPS 2.0”, the Inclusive Framework Pillar One and Two proposals – which has the political backing of 137 countries – is facing political difficulties, including within the EU and the US. The «Ecofin» meeting of EU finance ministers on Tuesday in Luxembourg will seek to break the logjam in Europe. How is Luxembourg positioned?

Analyse : la fin de la faiblesse de l'euro n'est pas encore en vue

La Banque d’Angleterre a dû annoncer des mesures d’urgence mercredi pour arrêter la chute de la livre. La panique règne sur le marché financier le plus liquide du monde, le marché des changes. Derrière la panique se cache une crise systémique : une chute spectaculaire des monnaies européennes par rapport au dollar. Une analyse.

Stefan Duchateau : Les sept plaies de Wall Street

(…) et, par extension, du reste des bourses mondiales. Bien qu’il ne soit jamais bon de généraliser. Ainsi, contrastant avec le marasme sur d’autres marchés financiers, les bourses indiennes flirtent avec leurs sommets et la roupie était l’une des rares devises à suivre le dollar US dans sa marche haussière, jusqu’à ce que le billet vert nous gratifie d’une accélération dévastatrice et que la monnaie indienne doive également lâcher prise, comme l’avaient fait avant elle, l’euro, la livre britannique et le yuan. 

La Banque d'Angleterre déploie une politique de crise pour inverser la chute de la livre

La Banque d’Angleterre est confrontée à l’une des plus grandes crises du marché des obligations d’État depuis la Seconde Guerre mondiale. La banque centrale a suspendu la vente de Gilts et rachète des obligations à long terme pour stopper la chute libre de la livre sterling. 

La Banque d’Angleterre parle d’un «risque important pour la stabilité financière au Royaume-Uni». Il a également annoncé un éventuel nouveau resserrement des rênes et la possibilité d’une réduction du crédit à l’économie réelle. 

Jonathan Holslag : "L'Europe risque d'être perdante"

L’Europe n’utilise pas assez son marché unique comme levier politique et militairement, le continent ne représente pas grand-chose. Notre démocratie et notre marché libre seront assiégés de toutes parts. Pendant ce temps, la volonté de l’Occident de protéger notre mode de vie est extrêmement limitée. Si nous ne faisons rien, nous resterons un faible dans le «grand jeu»«.  

Fondsevent: Europe risks losing out in ‘the big game’

“Europe does not use its single market enough as a political lever and militarily the continent does not amount to much. Our democracy and free market will be besieged on all sides. Meanwhile, the West’s willingness to protect our way of life is extremely limited. If we do nothing, we will remain a weakling in ‘the big game’.”  

Insurers seek resilience in PE, Blackrock survey shows

Global insurers are diversifying their portfolios and most of them - 87 percent - plan to increase allocations to private investments over the next two years, which would represent a three percent average increase versus their current allocation, Blackrock’s latest global insurance survey shows.  

C'est aussi une belle opportunité d'achat à long terme.

Bien que le secteur de l’investissement prêche généralement le long terme, l’environnement actuel exige des politiques d’investissement à plus court terme et plus actives. Nous sommes obligés d’ignorer les grandes tendances et de regarder seulement six mois en avant.

C’est ce qui est ressorti lundi du débat entre les DSI de sept grandes banques et gestionnaires d’actifs néerlandais, lors de l’événement Investment Officer’s Fund.