Le point de vue de Jan Longeval : Pavlov achète le creux

Depuis la crise financière de 2008, chaque chute du marché boursier est présentée comme une opportunité d’achat – grâce à la Fed et à une horde de nouveaux investisseurs qui semblent avoir oublié qu’il y a le mot risque dans « prime de risque ». Tôt ou tard, le marché les ramènera à la raison.

Un déficit réel

Certains rapports et études périodiques sont plus instructifs et plus intéressants que d’autres. En ce qui me concerne, je n’ai que faire des perspectives ennuyeuses et vides de sens pour l’année à venir. Je préfère m’intéresser à ce que font réellement les investisseurs, plutôt qu’aux habituelles présentations de décembre, dont le contenu est parfois dépassé avant même le début de la nouvelle année.

Tirer des leçons des chocs d’offre et de demande du passé

Un récent séminaire de la Hoover Institution a attiré mon attention : il traitait de la différence entre les chocs d’offre et de demande*. Les chercheurs ont étudié ce qui se passe lorsque la mondialisation évolue dans une direction ou une autre, comme après la Première Guerre mondiale ou après les années 1970. Quelques leçons importantes peuvent d’ores et déjà être tirées.

Un déficit réel

Certains rapports et études périodiques sont plus instructifs et plus intéressants que d’autres. En ce qui me concerne, je n’ai que faire des perspectives ennuyeuses et vides de sens pour l’année à venir. Je préfère m’intéresser à ce que font réellement les investisseurs, plutôt qu’aux habituelles présentations de décembre, dont le contenu est parfois dépassé avant même le début de la nouvelle année.

Le capitalisme comme solution

Samedi dernier, 240 organisations ont manifesté à Amsterdam contre le populisme d’extrême droite. Il y a plus de 25 ans, le populisme aux Pays-Bas était encore considéré comme un phénomène exotique en provenance du tiers monde : un mouvement populaire anticapitaliste que l’on pouvait trouver dans les pays d’Amérique du Sud tels que l’Argentine, la Bolivie et le Venezuela. 

Et ils ne furent plus que neuf

Moody’s est la dernière agence de notation en date à retirer aux États-Unis leur notation AAA. Rien de nouveau sous le soleil ? Je ne dirais pas cela, étant donné le moment où la décision a été prise. Même si rien ne se passe vraiment sur le devant de la scène, les décideurs politiques, les banques centrales et les politiciens travaillent d’arrache-pied en coulisses.

Et ils ne furent plus que neuf

Moody’s est la dernière agence de notation en date à retirer aux États-Unis leur notation AAA. Rien de nouveau sous le soleil ? Je ne dirais pas cela, étant donné le moment où la décision a été prise. Même si rien ne se passe vraiment sur le devant de la scène, les décideurs politiques, les banques centrales et les politiciens travaillent d’arrache-pied en coulisses.