Quand les acheteurs font défaut

Chaque semaine, je réfléchis au chiffre macroéconomique ou au thème de marché que j’examinerai pour cette rubrique. La croissance de l’emploi aux États-Unis ? Ou encore la guerre des tarifs douaniers, qui reprend de plus belle alors que Donald Trump et ses amis étrangers ne parviennent pas à trouver un accord. Puis, soudain, un autre article paraît sur ce problème impossible à ignorer : notre système économique fondé sur l’endettement grince tellement qu’il exige notre attention.

Jan Longeval : « Le marché obligataire japonais s’agite »

Avec les politiques erratiques de Donald Trump, tous les regards se tournent vers le marché obligataire américain, où les « justiciers obligataires » se sont déchaînés. Mais la situation est également tendue sur le marché obligataire japonais. C’est peut-être ce qui devrait nous préoccuper davantage.

L’intelligence artificielle, encore sous-estimée

L’intelligence artificielle est encore sous-estimée, tant en termes de portée que de rapidité de mise en œuvre. Ce constat a un petit air de déjà vu… L’ordinateur personnel dans les années 1980, l’Internet dans les années 1990, le smartphone à partir de 2007 : toutes ces technologies révolutionnaires ont été massivement sous-estimées par les analystes, les investisseurs et même les plus grands optimistes. Aujourd’hui, nous vivons la même chose avec l’intelligence artificielle, mais à un rythme qui éclipse toutes les révolutions technologiques précédentes.

L’intelligence artificielle, encore sous-estimée

L’intelligence artificielle est encore sous-estimée, tant en termes de portée que de rapidité de mise en œuvre. Ce constat a un petit air de déjà vu… L’ordinateur personnel dans les années 1980, l’Internet dans les années 1990, le smartphone à partir de 2007 : toutes ces technologies révolutionnaires ont été massivement sous-estimées par les analystes, les investisseurs et même les plus grands optimistes. Aujourd’hui, nous vivons la même chose avec l’intelligence artificielle, mais à un rythme qui éclipse toutes les révolutions technologiques précédentes.

L’IA et le portefeuille équilibré

Pour des générations d’investisseurs, l’évangile était simple : investissez dans un portefeuille équilibré composé de 60 % d’actions et de 40 % d’obligations. Cette formule sacrée a été transmise de gestionnaire de patrimoine en gestionnaire de patrimoine, de père en fils, comme une loi immuable de la physique financière. Mais que se passe-t-il lorsque l’intelligence artificielle passe au crible cette sagesse ancestrale ? La réponse surprendra de nombreux investisseurs.

Sélection des gestionnaires : le monde à l’envers

Je rédige actuellement une série de chroniques sur la sélection des gestionnaires et commence par prendre le problème à l’envers : la sélection inversée des gestionnaires. Comment le gestionnaire de fonds sélectionne-t-il le gérant ? En bref, comment le gestionnaire de fonds arrive-t-il à vous ?

L’IA et le portefeuille équilibré

Pour des générations d’investisseurs, l’évangile était simple : investissez dans un portefeuille équilibré composé de 60 % d’actions et de 40 % d’obligations. Cette formule sacrée a été transmise de gestionnaire de patrimoine en gestionnaire de patrimoine, de père en fils, comme une loi immuable de la physique financière. Mais que se passe-t-il lorsque l’intelligence artificielle passe au crible cette sagesse ancestrale ? La réponse surprendra de nombreux investisseurs.