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Les objectifs de développement durable déterminent de plus en plus les processus d’investissement des gestionnaires et des fonds durables. Mais à cause de Covid, le développement des SDG a ralenti. 

C’est la conclusion d’une étude de M&G. Une étude récente révèle que Covid-19 a considérablement ralenti les progrès mondiaux vers les 17 objectifs de développement durable (SDG) des Nations unies, cinq ans après leur lancement. 

Après des années de sous-performance, les investisseurs en valeur jettent l’éponge. Cette capitulation devrait marquer le début d’un retour de la valeur.

Pour Hayden Briscoe, responsable Fixed Income China chez UBS Asset Management, c’est une évidence : l’inclusion de titres de créance chinois dans les indices obligataires mondiaux va provoquer un véritable séisme. En outre, différents éléments jouent actuellement en faveur de ces obligations peu connues.

Comme la banque centrale chinoise, la BCE envisage également une monnaie numérique comme moyen de paiement alternatif. A la mi 2021, la décision est prise et la BCE décide si l’euro numérique doit être introduit. La principale différence entre une monnaie numérique émise par la banque centrale et une cryptomonnaie est déterminée par le monopole du gouvernement sur le pouvoir.

Un habitant des économies émergentes sur trois n’a pas accès aux services bancaires de base, tels qu’un compte bancaire. De plus en plus, les fintechs offrent une solution à ce problème. Cela en fait un thème d’investissement qui contribue à accroître l’inclusion financière mondiale tout en offrant un rendement financier intéressant. 

Inclusio prévoit une introduction en bourse à court ou moyen terme. La société a été fondée en 2015 au sein de la Banque Degroof Petercam, Re-Vive et Kois, entre autres. Aujourd’hui, le groupe se positionne comme un investissement non coté dans le logement social avec une vocation clairement sociale. 

De nombreuses entreprises technologiques sont devenues des mastodontes en peu de temps alors que le législateur n’a pas mis de paille dans leur chemin. Selon les gestionnaires du Global Communication Fund de Fidelity International, Jon Guinness (photo) et Sumant Wahi, cela va changer, tandis que les grands investisseurs peuvent aussi faire leur part en rappelant constamment à ces entreprises leur responsabilité.

Selon le gestionnaire d’actifs Pimco, les investisseurs seront confrontés à d’importants défis dans les années à venir. La volatilité restera élevée en raison de la présence de nombreux disrupteurs potentiels, mais les perspectives de rendement sont maigres.

En dépit d’un creusement du déficit budgétaire, la performance de l’économie américaine a été décevante durant les quatre dernières années, avec des inégalités sociales qui n’ont jamais été aussi fortes. Les marchés pourraient être volatils durant les prochains mois au vu des incertitudes relatives aux élections. 

Les investisseurs étrangers et les banques centrales placeront de plus en plus d’argent dans les obligations d’État chinoises. Elles offrent un rendement relativement élevé et constituent un investissement sûr.