‘Value for money’ replaces full inducement ban in EU retail plan

Fund firms face the prospect of EU rules setting standards of “value for money” for their investment products under the Retail Investment Strategy due to be unveiled on 24 May. This could include disincentives, for example, to charging active management fees for an investment that underperforms an index fund. For all the discussion of a ban on inducements for investment advice, the commission has decided to propose a more limited inducement ban on execution-only investments. 

Les régulateurs proposent des changements à la SFDR : plus de détails et beaucoup de travail supplémentaire

Les normes techniques auxquelles doivent répondre les informations sur le développement durable sont de plus en plus claires pour les autorités de surveillance européennes, selon un document de consultation très détaillé et comportant de nombreuses formules de calcul. Dans le même temps, les quelque 100 pages de changements proposés exigeraient à nouveau un investissement important en temps et en argent de la part des acteurs du marché.

"Une meilleure réponse indirecte aux marchés émergents"

Notre allocation est neutre, avec une surpondération des États-Unis. Nous ne sommes pas convaincus que les marchés émergents vont surperformer. Les investisseurs qui souhaitent y être exposés feraient mieux de choisir des entreprises de pays développés qui y opèrent, déclare Steven Vandepitte (ING), stratège chez ING Belgique.

Nordea AM : "Les obligations sécurisées sont l'endroit le plus sûr parmi les obligations".

Les investisseurs sont toujours à la recherche de valeurs refuges et aujourd’hui, la volatilité accrue et les incertitudes liées à l’inflation et aux perspectives économiques les rendent difficiles à trouver. Les obligations sécurisées, également connues sous le nom de covered bonds, sont un segment peu connu du marché qui peut passer pour une valeur refuge.

La clarté de la SFDR est la bienvenue, mais les craintes d'écoblanchiment subsistent

La clarté réglementaire tant attendue sur les exigences en matière d’ESG et de durabilité pour les gestionnaires de fonds et d’actifs semble avoir réduit la confusion qui avait conduit à une dépréciation de quelque 270 milliards d’euros d’actifs sous gestion l’année dernière. Pourtant, certains spécialistes estiment que les allégations d’écoblanchiment qui ont frappé le secteur au cours de l’année écoulée risquent fort de se poursuivre.