German court paves the road for more debt in Europe
German judges handed down an important verdict this week: EU treaties are no obstacle to shared debt in the union. The ruling comes shortly after the European Commission called for new joint injections into the economy. “As an investor I would carefully reconsider my bond portfolio,” one critic warns.
On Tuesday, the German constitutional court in Karlsruhe ruled that “exceptional” EU loans to overcome problems caused by the Covid-19 pandemic do not violate European treaties.
Un tribunal allemand ouvre la voie à une dette encore plus partagée en Europe
Les juges allemands ont rendu cette semaine un verdict important : les traités de l’UE ne font pas obstacle au partage de la dette dans l’Union. Cette décision intervient deux jours après que la Commission européenne a appelé à de nouvelles injections conjointes dans l’économie. En tant qu’investisseur, je réfléchirais soigneusement à mon portefeuille d’obligations», préviennent les critiques.
"Une récession, mais des opportunités dans les soins de santé et la finance"
Une récession au cours de l’année à venir est désormais un scénario de base, mais cela ne signifie pas qu’il n’y a plus d’opportunités dans les actions mondiales, en particulier dans les secteurs de la santé et de la finance.
C’est ce qu’affirme Jeremy Podger, gestionnaire d’actions internationales chez Fidelity International (photo). Il est à la tête du Fidelity Funds World Fund.
Fou, délirant ? Saxo prévoit l'interdiction de l'armée et de la viande dans l'UE
Alors que d’autres acteurs du marché se demandent s’il y aura un atterrissage brutal ou en douceur aux États-Unis et ce qu’il adviendra des bénéfices, Saxo Bank se concentre sur la possibilité de l’arrivée d’une armée européenne dans les cinq prochaines années et sur la possibilité de la disparition du capital-investissement.
AXA IM : 2023 sera l'année de la désinflation
Gilles Moëc, chef économiste du Groupe AXA et directeur de la recherche d’AXA IM, voit de nombreux signes indiquant que l’inflation a atteint un pic aux États-Unis et en Europe. Cependant, le marché a été un peu trop dur et il est bien trop tôt pour penser à des réductions de taux d’intérêt. Les marchés vont-ils trop vite ?
Graphique de la semaine : que se passe-t-il avec les prix du pétrole ?
Il y a moins de deux semaines, le prix du baril de pétrole avait bondi de près de 10 dollars. Les rumeurs selon lesquelles la Chine allait tout de même réellement revoir sa politique anti-COVID et permettre une ‘réouverture’ progressive avaient fait grimper le prix en flèche. Mais maintenant que cette réouverture semble imminente après quelques menaces de confinements, le pétrole se trouve à son niveau le plus bas de l’année?
Les réserves d'or atteignent leur plus haut niveau depuis près de 50 ans
Les réserves d’or des banques centrales ont atteint le niveau le plus élevé depuis près de 50 ans. Les banques centrales des marchés émergents, en particulier, ont beaucoup acheté le métal précieux cette année, influencées par le dollar et les sanctions contre la Russie.
« Le secteur des énergies alternatives peut devenir un thème d’investissement majeur »
Les Big Tech ont dominé le marché boursier ces dernières années. « Après la forte correction, il s’agit de trouver le nouveau thème d’investissement », déclare Philippe Gijsels, stratégiste en chef chez BNP Paribas Fortis.
Les marchés émergents de la dette : BB et investment grade
Le point idéal pour les obligations des marchés émergents se situe actuellement dans les segments BB et investment grade. Bien que le temps des considérations majeures au sein d’EMD ne soit pas encore arrivé, les spreads extrêmement gonflés commencent à baisser un peu et quelques opportunités d’alpha peuvent déjà être trouvées ici et là. Je trouve parfois décourageant d’examiner cette classe d’actifs au niveau de l’indice», dit-elle.
Les actions pourraient chuter de 30 % si le prix du CO2 augmente de 100 $.
Si le prix mondial du carbone augmente des 100 dollars nécessaires à l’accord de Paris pour les entreprises polluantes, la valorisation des actions chutera de 6 à 30 %. C’est ce que révèle une étude publiée aujourd’hui par Van Lanschot Kempen, la banque ayant envisagé le pire des scénarios.