Trump 2.0

Si Kamala Harris, qui succède à Joe Biden, monte en flèche, Donald Trump caracole en tête des sondages pour l’élection présidentielle américaine. Et les « Trump trades » poussent comme des champignons.

S&P 500 : les investisseurs ne savent plus sur quel pied danser

Entre les nombreuses bonnes et potentiellement mauvaises nouvelles, les investisseurs se sentent piégés. Malgré les atermoiements, ils restent investis. Il est temps de dresser un bilan semestriel et de se pencher sur les arguments incitant à rester sur les marchés, ainsi que ceux appelant à la prudence.

De bonnes nouvelles... enfin bonnes

Les dernières données macroéconomiques montrent que nous nous trouvons à un carrefour. Alors que longtemps, on espérait que de mauvais chiffres pousseraient la Réserve fédérale à cesser de vouloir maintenir les taux élevés pendant longtemps, une bonne nouvelle est « simplement » redevenue une bonne nouvelle.

Rebond estival

Lors des années où un nouveau président américain est élu, on a souvent observé un rebond estival. Les médias accordent généralement beaucoup d’attention aux élections en juillet, du fait des conventions républicaines et démocrates tenues en juillet et août.

La fin d’une ère pour l’Allemagne

Non, je ne parle cette semaine pas l’équipe allemande de football, éliminée en quart de finale de l’Euro par l’Espagne, désormais finaliste. À noter que je rédige cette rubrique avant la demi-finale des « Oranje » - et si, ce faisant, je porte malheur à l’équipe de mon pays, je leur présente par avance mes excuses.

La disparition du marché immobilier

Un marché libre garantit que lorsqu’un groupe de personnes a besoin de quelque chose, il y a toujours un autre groupe de personnes disposé à le produire. Ces produits sont alors échangés sur un marché qui profite aux deux parties. De plus, ils sont également échangés au prix le plus bas possible, à condition qu’il y ait une concurrence suffisante. Un monde idéal, également connu sous le nom de capitalisme.