« La part de marché des obligations d’entreprises vertes atteint 30 % »

Les investisseurs en obligations vertes bénéficient d’un éventail croissant d’opportunités de diversification. Dans les années à venir, les États et d’autres émetteurs d’Amérique du Nord et d’Asie intensifieront l’émission d’obligations vertes.

« Les petites capitalisations n’ont jamais été aussi bon marché »

Depuis plusieurs années, les petites capitalisations sont à la traîne des grandes et se négocient aujourd’hui avec une décote, ce qui constitue un bon point d’entrée. Pour les investisseurs ayant une vision à long terme, des rendements très attractifs se profilent à l’horizon.

Fund Radar : la forte collecte indienne

L’optimisme sans bornes concernant le potentiel de l’intelligence artificielle et les possibles baisses de taux des grandes banques centrales a quelque peu éclipsé les inquiétudes concernant l’inflation persistante, les tensions géopolitiques, les résultats surprenants des élections et les ratés de l’économie chinoise au premier semestre 2024. Le moment est venu de faire un point sur le sentiment et les préférences des investisseurs européens. Quelles stratégies ont été sur le radar des investisseurs et quelle surprise nous a réservée le premier semestre ?

OBAM ressent encore les effets du cru 2022

Si OBAM a enregistré de moins bonnes performances ces dernières années, le fonds entend toujours battre l’indice à long terme. « Nous nous distinguons par nos investissements ciblés dans des entreprises de qualité, uniques et plutôt bien évaluées, mais aussi par une faible structure de coûts. »

La taille critique et la durée de vie des fonds thématiques renforcent l’attrait de Thematics pour les institutionnels

Alors que les fonds thématiques axés sur l’intelligence artificielle et la robotique, l’eau et la sécurité ont atteint une taille critique et une certaine durée de vie, davantage de capitaux provenant d’investisseurs institutionnels affluent vers Thematics Investment. Karen Kharmandarian, CIO de la société de fonds, parle d’une « progression sur l’échelle du raffinement ».

Karel Baert regarde dans Le Miroir : « J’ai vu des dirigeants sombrer dans l’alcool faute d’un foyer chaleureux »

Comment un banquier devient-il headhunter ? Pourquoi l’œuvre de Stijn Streuvels occupe-t-elle une place particulière dans son cœur ? Karel Baert, CEO de la fédération sectorielle Febelfin, raconte son histoire dans Le Miroir.