Carmignac se tourne vers la Chine
Le gestionnaire parisien lance un nouveau fonds exposés sur les grandes tendances de la nouvelle Chine, avec une optique durable dans la sélection des différentes lignes.
Etude immobilière d'ING : 8 belges sur 10 pensent que les prix continueront à monter
Avec la crise sanitaire et les confinements, l’intérêt pour l’immobilier a atteint des niveaux sans précédents qui a donné lieu à une frénésie et à une flambée des prix. Huit Belges sur dix (81%) estiment aujourd’hui que les prix de l’immobilier vont continuer à augmenter alors qu’ils n’étaient que 65% à le penser en 2020. C’est ce qui ressort d’une étude immobilière1 internationale d’ING sur l’immobilier à laquelle 1.000 Belges ont également participé.
La BCE continuera à acheter des obligations pour les années à venir"
La dynamique inflationniste sous-jacente dans la zone euro reste si faible que la Banque centrale européenne continuera à mener une politique monétaire très souple pour le moment. Un nouveau programme d’achat d’obligations suivra après la fin du programme d’urgence temporaire pour la pandémie.
Le baromètre des investisseurs d’ING atteint son meilleur niveau depuis trois ans
Le baromètre des investisseurs d’ING atteint son meilleur niveau depuis trois ans. L’intérêt pour le risque a fortement augmenté chez les investisseurs peu actifs. Même si les investisseurs sont convaincus de la reprise rapide de l’économie belge, la confiance dans les plans de relance des gouvernements est nettement plus élevée chez les francophones que chez les néerlandophones. Le fait que plus d’un tiers des personnes interrogées prévoient un voyage à l’étranger en avion cette année témoigne du retour à la normale.
Capital Group : les opérateurs boursiers sont désormais des entreprises fintech de premier plan
Il y a beaucoup d’opportunités dans la finance (en Asie), mais il faut sortir des sentiers battus. Et les opérateurs boursiers sont les principales entreprises de fintech aujourd’hui. La Fintech 2.0 offre également de nombreuses possibilités de perturbation.
C’est ce que déclare William Pang, de Capital Group, dans une interview accordée à Investment Officer.
Les ETF battent tous les records
Tout porte à croire que 2021 sera une année record sans précédent pour les ETF actions. Rien qu’au cours des six premiers mois, les flux entrants se sont élevés à 519 milliards de dollars. Cela signifie que tous les records précédents ont déjà été battus. Des décennies de croissance pour les produits passifs s’annoncent».
Postes vacants records, mais refus des américains de travailler
Après deux mois décevants, la croissance de l’emploi aux États-Unis s’est accélérée en juin après la réouverture de l’économie. Pourtant, des millions d’Américains restent sans emploi.
26 États ont supprimé les aides au chômage afin d’inciter d’avantage d’Américains à solliciter pour les postes vacants.
C’est l’analyse de Frank Maet, économiste chez Belfius.
Triodos IM : les actions restent peu attrayantes
Les actions sont surévaluées et le risque de correction est réel. Et les responsables politiques perdent un temps précieux pour réinitialiser le système économique. Telles sont les conclusions des perspectives d’investissement de Triodos IM.
Les perspectives à court terme de l’économie mondiale sont favorables. Dans la plupart des économies développées, les gouvernements ont pu assouplir les restrictions imposées grâce à des campagnes de vaccination rapides.
L'inflation n'est plus le moteur d'une correction des marchés"
« BlackRock qualifie le nouveau statu quo dans l’économie mondiale de ‘new nominal’. Le ‘new nominal’ est la situation dans laquelle une inflation plus élevée n’entraîne plus une forte hausse des taux d’intérêt et les risques de correction sur les marchés actions sont plus faibles. »
C’est ce que déclare Lukas Daalder, chief investment strategist chez BlackRock, lors d’un entretien avec Fondsnieuws. La raison en est la publication la semaine dernière des perspectives de mi-année pour 2021.
« La gestion conseil a encore une valeur ajoutée »
Sous la pression de la réglementation et des lourdeurs administratives, de nombreuses (petites) banques privées et gestionnaires de patrimoine réduisent leurs activités de gestion conseil. Ce n’est certainement pas le cas chez Leo Stevens & Cie. Cependant, la croissance se situe principalement dans la gestion discrétionnaire, qui représente environ les trois quarts du total de 1,2 milliard d’euros des actifs sous gestion.