Banques privées

« Nous avons connu les moments les plus propices. La politique procyclique et keynésienne de Donald Trump sera source de problèmes en 2019. »

Le gouvernement italien s’accroche obstinément à un projet de budget qui bafoue le cadre budgétaire européen. Et même sans ce cadre, la politique proposée est irréalisable. Tel est ce qu’affirme Lieven Noppe, économiste en chef de KBC, dans un article d’opinion. « L’Italie a besoin d’une politique frugale basée sur le modèle allemand. »

Les statistiques trimestrielles de KBC indiquent que la banque belge a enregistré de meilleurs résultats au troisième trimestre que l’an dernier.

De juillet à septembre, KBC a réalisé un bénéfice net de 701 millions d’euros, soit 1 % de plus qu’en 2017. Les analystes avaient pourtant prévu une baisse. Les revenus du groupe s’élevaient quant à eux à 1,89 milliards d’euros, dépassant la prévision de 1,86 milliards. 

KBC Private Banking a été élue meilleure banque privée belge lors des London Global Private Banking Awards 2018. Le prix a été décerné par les magazines spécialisés Professional Wealth Management et The Banker, qui appartiennent tous deux au Financial Times. KBC Private Banking a été saluée notamment pour l’actualisation de sa stratégie ainsi que pour sa solution globale en matière de gestion patrimoniale.

Le ministre des Finances Johan Van Overtveldt (N-VA) prévoit une réorganisation de la direction de la Banque nationale, qui intervient à la suite des remous provoqués récemment par la nomination de Steven Vanackere (CD&V) comme nouveau directeur de la banque nationale. 

La réforme prévoit moins de mandats, plus de femmes à la tête de l’institution ainsi que la réalisation d’une analyse des salaires élevés. Tel est ce qu’écrit le journal économique De Tijd.

BNP Paribas Fortis a rompu le contrat qui la liait à sa Chief Information Officer Sonja Noben.

La récente diminution du nombre d’agences bancaires en Belgique a d’importantes conséquences sur les communes les plus pauvres. La commune la plus riche, Laethem-Saint-Martin, n’a pour l’instant perdu qu’une seule agence, tandis que la commune d’Anvers doit désormais compter sur 37 agences de moins.

Les intermédiaires, comme les courtiers et agents, jouent, en Belgique, un rôle clé dans le soutien des personnes qui éprouvent des difficultés à se sentir à l’aise dans le monde numérique, voire n’y ont pas accès. 

Ce sont les propos tenus par Erika Coene, attachée du Service d’Étude du Gezinsbond, lors du congrès annuel BZB-Fedafin qui s’est tenu à Bruxelles la semaine dernière. Selon elle, diverses études actuelles, comme le Baromètre de la Société de l’Information, révèlent la menace d’une fracture au sein de la société belge.

L’association FinTech Belgium réunissait pour la troisième année consécutive les acteurs de la communauté FinTech en Belgique lors de son Summit annuel. Cette rencontre qui réunit de nombreux orateurs et des jeunes pousses qui viennent « pitcher » pour se présenter devant un panel de financiers est l’occasion de faire le point sur le secteur des FinTechs en Belgique.

Les actifs sous gestion de BinckBank ont de nouveau baissé. À l’exception d’une toute petite reprise, cette baisse s’inscrit dans une chute amorcée en 2014. Au cours du troisième trimestre 2018, ce courtier en ligne a rapporté 1,013 milliard d’euros d’actifs sous gestion, soit une baisse de 11 pour cent par rapport à la même période de l’année précédente. 

C’est ce que révèlent les chiffres publiés lundi matin. On note une baisse d’un pour cent par rapport au trimestre précédent.