Un petit investisseur ne comprend pas les taux d'intérêt, mais les rendements sont "excellents".

Les petits investisseurs ne savent pas ce que la hausse des taux d’intérêt signifie pour leurs placements. Malgré cela, ils ont déclaré avoir obtenu de bons rendements lorsque le sang coulait dans les rues.

'Les family offices prévoient le plus grand changement d'allocation d'actifs depuis longtemps'

Les family offices souhaitent allouer davantage d’actifs aux titres à revenu fixe dans les années à venir, mais aussi aux alternatives illiquides telles que le capital-investissement (secondaries). Environ un tiers des familles fortunées investissent déjà dans des actifs numériques, même s’il s’agit généralement d’un très faible pourcentage.

Allianz’s Dixmier: ‘Monetary policy is really starting to bite’

The Federal Reserve’s predicted interest rate peak between 5.5% and 5.75% has left many asset managers uncertain about their rate forecasts for the second half of the year. However, Franck Dixmier, the global CIO at Allianz Global Investors, is undeterred by this ambiguity, stating, «Monetary policy is really starting to bite now.»

« Nous achetons tous les creux dans le ventre de la courbe des taux d’intérêt »

De nombreux gestionnaires d’actifs restent prudents quant à leurs prévisions de taux d’intérêt pour le second semestre, mais cela n’a que peu d’importance pour Franck Dixmier, Global CIO chez Allianz Global Investors. « La politique monétaire commence vraiment à se faire sentir. »

L'idée que les jeunes peuvent investir de manière plus risquée est erronée".

Un adage bien connu des investisseurs dit qu’un horizon d’investissement plus long permet d’obtenir des rendements plus élevés. Plus un investisseur est jeune, plus il peut prendre de risques. Cette affirmation est statistiquement erronée. 

Les investisseurs belges s'intéressent davantage aux obligations

L’intérêt pour les investissements obligataires est à son plus haut niveau depuis 2011. C’est ce que révèle le Baromètre mensuel des investisseurs d’ING.

Toutefois, les attentes concernant les marchés boursiers restent partagées : 28 % s’attendent à une hausse des cours dans les trois prochains mois, 27 % à une baisse. Les autres pensent que les marchés boursiers stagneront sur place ou resteront sans réponse.