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Les gestionnaires de fonds du monde entier continuent à voir dans une guerre commerciale le plus gros risque de pertes pour les investisseurs.

C’est ce que révèle la publication des résultats d’un sondage mené durant la première semaine d’août auprès de 185 gestionnaires de fonds, représentant un patrimoine total de 534 milliards d’euros sous gestion.

57 % des gestionnaires de fonds donnent cette réponse à la question de savoir où réside le principal risque de pertes et ce, pour le troisième mois consécutif. 

Avec un rendement de 10,5 % à la fin juin, l’indice Russell 2000 a augmenté deux fois plus que l’indice S&P 500, ce qui était principalement dû à un deuxième trimestre très solide, au cours duquel l’indice small cap a gagné 13,4 %, ce qui a largement compensé la perte du premier trimestre.

La crainte que la Turquie ne soit bientôt contrainte de demander l’aide du Fonds monétaire international met le pays encore davantage sous pression en ce début de semaine. La livre a de nouveau perdu plus de 10 pour cent dans le cadre du commerce en Asie.

Cependant, l’intervention de la Banque centrale turque a limité la perte de la livre à 2 % ce lundi matin. Cet après-midi, le ministre turc des Finances, Berat Albayrak (le gendre du président Erdogan) présentera des mesures visant à rétablir le calme autour de la livre. 

L’économie mondiale s’est enfin remise de la crise de 2008 et connaît actuellement une croissance soutenue. Mais ce n’est pas pour autant une raison d’ajouter du risque aux portefeuilles, affirme Lord Jacob Rothschild, président de RIT Capital Partners, dans le dernier rapport semestriel envoyé à ses clients. 

Contrairement à plusieurs autres gestionnaires de fonds, Pictet AM a décidé de miser davantage sur les actions plutôt que de réduire sa position. « Il y a encore suffisamment de bonnes affaires à réaliser », selon le gestionnaire d’actifs suisse. 

Pour la première fois depuis septembre 2016, Schroders a revu ses prévisions concernant la croissance économique mondiale, en raison du faible début d’année pour de nombreuses économies, de l’augmentation du prix du pétrole et de l’inquiétude grandissante quant aux relations commerciales entre les États-Unis et la Chine. 

Rééquilibrer régulièrement un portefeuille d’investissement pour le ramener à sa répartition d’actifs initialement définie constitue la meilleure garantie d’un ratio risque-rendement optimal sur le long terme.

C’est ce qu’indique le célèbre bureau d’études canadien Reseach Affiliates dans l’article final d’une série en huit volets sur la construction de portefeuilles. 

8 Belges sur 10 attachent de l’importance, voire beaucoup d’importance, à la durabilité. L’adoption d’un mode de vie durable est considérée comme essentielle pour la survie de la planète. La volonté d’assumer les coûts de cette démarche fait toutefois cruellement défaut – comme la connaissance du marché de l’investissement durable. 

Les risques du rallye boursier augmentent et la baisse amorcée la semaine dernière avec la sanction infligée à Facebook va se poursuivre. La vente vient de commencer et cette correction sera la plus importante depuis celle de février.

La courbe de rendement américaine est en train de s’aplanir. Étant donné qu’une courbe de rendement inversée est considérée comme un mauvais présage pour les marchés des actions et l’annonceur d’une prochaine récession, un sentiment de nervosité s’insinue chez les analystes du marché. Ces inquiétudes sont-elles justifiées, une récession est-elle imminente?