Un petit investisseur ne comprend pas les taux d'intérêt, mais les rendements sont "excellents".

Les petits investisseurs ne savent pas ce que la hausse des taux d’intérêt signifie pour leurs placements. Malgré cela, ils ont déclaré avoir obtenu de bons rendements lorsque le sang coulait dans les rues.

« Nous achetons tous les creux dans le ventre de la courbe des taux d’intérêt »

De nombreux gestionnaires d’actifs restent prudents quant à leurs prévisions de taux d’intérêt pour le second semestre, mais cela n’a que peu d’importance pour Franck Dixmier, Global CIO chez Allianz Global Investors. « La politique monétaire commence vraiment à se faire sentir. »

Philippe Gijsels : « L'intelligence artificielle se prépare à une percée »

L’intelligence artificielle se prépare aujourd’hui à une véritable percée. Les marchés boursiers devraient continuer à bien se porter cette année.

C’est ce qu’affirme Philippe Gijsels (photo), stratégiste en chef chez BNP Paribas Fortis, car l’inflation a dépassé son pic, tout comme les taux d’intérêt.

Le client patrimonial peut choisir des accents illiquides chez Van Lanschot Kempen

En réponse à la standardisation généralisée, Van Lanschot Kempen propose désormais des investissements spécifiques dans le domaine de la gestion d’actifs. Les clients de la banque privée peuvent désormais ajouter un accent à leur portefeuille de gestion d’actifs avec leurs actifs dits «excédentaires». 

‘New securitisation law requires update to match Ireland’

La communauté luxembourgeoise de la titrisation se mobilise face à l’observation de l’Irlande, concurrente farouche, conserver son rôle de leader européen dans les sociétés de véhicules financiers et séries, malgré l’optimisme exprimé l’année dernière quant à la loi luxembourgeoise sur la titrisation, pourtant toujours éclatante. L’implémentation irlandaise incluait des dispositions offrant aux entreprises des options de minimisation fiscale qui ne sont pas encore accessibles en vertu de la législation luxembourgeoise.

"Les alternatives ne sont plus facultatives"

La corrélation négative entre les obligations et les actions n’est plus une certitude en raison de l’inflation structurellement plus élevée au cours de la prochaine décennie. Il est donc devenu «impératif» de compléter le portefeuille classique 60/40 par des alternatives. 

C’est ce qu’a déclaré Vincent Juvyns, stratège du marché mondial chez JP Morgan Asset Management, mardi soir, lors de la présentation des perspectives pour le second semestre de l’année à Amsterdam.