Dans quelle mesure le scénario de la stagflation est-il réel ?

Depuis les années 1970, la croissance de l’économie mondiale n’a pas été aussi forte que cette année. Avec le ralentissement de la croissance économique et la hausse de l’inflation, les médias spéculent sur la stagflation. Le mot stagflation est composé de stagnation et d’inflation.  

Le CO2, une catégorie d'investissement qui se dissout

On parle beaucoup du problème de la crise climatique, mais c’est dans les solutions à cette crise que réside le rendement pour les investisseurs. Le prix du CO2 fait partie de tout accord écologique. Le système par lequel les droits d’émission sont plafonnés et ensuite échangés est supérieur aux autres possibilités.

Graphique de la semaine : il est temps d'augmenter la couverture du portefeuille

Compte tenu de l’affaiblissement du sentiment du marché et de la probabilité croissante d’une nouvelle flambée des prix de l’énergie, il est opportun de resserrer davantage les couvertures des portefeuilles : baisse des actions et hausse des matières premières et des obligations indexées sur l’inflation.

Gertjan Verdickt : Ne pas choisir suffisamment revient-il à perdre?

Avec une chute du cours des actions de plus de 20 % au début du mois de mars 2020, la pandémie de COVID-19 a amené les investisseurs à considérer leurs portefeuilles différemment et la diversification a retrouvé de l’importance. À juste titre ? Ne pas choisir suffisamment revient-il à perdre ? Dans cet article, nous revenons à la fondation de la Belgique et étudions l’effet des récessions sur l’attrait de la diversification (ou de son absence) pour les investisseurs.

Six investisseurs sur dix se sentiraient riches avec un patrimoine mobilier d’un demi-million d’euros

Après avoir fait du sur place à 123 points en juillet, le Baromètre ING des investisseurs s’est de nouveau replié à 116 points en août, probablement à cause des ravages causés par les inondations en Wallonie. Les attentes boursières restent cependant élevées. En quinze ans, la proportion d’investisseurs qui s’attendent à un rendement annuel de 10% du portefeuille d’actions a doublé pour passer de 10 à 21%. Cette tendance se marque particulièrement chez les jeunes, qui tablent sur des rendements supérieurs à 10 % sur une base annuelle.