Les cours des actions chutent de 20 à 30 % par rapport à leur sommet

Le consensus sur les marchés financiers est très loin de la réalité. La raison : une inflation plus élevée que prévu et la crainte que la Fed américaine augmente une nouvelle fois les taux d’intérêt de 75 points de base. Cette politique stricte en matière de taux d’intérêt se fera au détriment de la valorisation des actions. D’autres, citant l’histoire, mettent en garde contre un mouvement latéral prolongé du S&P

Graphique de la semaine : le prochain domino du marché immobilier

L’activité sur le marché immobilier américain connaît une baisse rapide. Les ventes de logements neufs ont chuté de plus de 12 % en juillet, la plus forte baisse depuis février de l’année dernière. Il s’agissait également de la sixième baisse en sept mois. Par rapport au sommet, la vente de logements neufs a chuté de 51 %.

Les investisseurs sont très pessimistes, il y a déjà beaucoup de choses dans les prix.

Certains facteurs soutiennent actuellement les actions : les conditions financières se sont améliorées et les investisseurs sont déjà très pessimistes, ce qui constitue généralement un bon signal d’achat contrariant. Le pic de l’inflation américaine est probablement déjà passé et de nombreux indicateurs laissent présager une baisse de l’inflation dans les mois à venir. 

Aimer les obligations ? Oui, selon Amundi

Il est temps de revenir sur le marché obligataire. C’est ce que dit Amundi, le plus grand gestionnaire d’actifs d’Europe, à ses clients. Les rapports selon lesquels le portefeuille 60/40 est mort ont été largement exagérés. Cette théorie n’est au congélateur que depuis un certain temps, juge Vincent Mortier, directeur des investissements chez Amundi.

As inflation subsides, M&G eyes the slowdown and the war

Central bank interest rate hikes seems to have had their desired effect, with signs pointing to the end of the very high inflation of late, but, according to three chief investment officers at M&G Investments, the world’s economy isn’t out of the doldrums yet, especially because of Russia’s ongoing war against Ukraine.

Amundi says it’s time to love bonds again

Europe’s biggest fund manager, Amundi, is telling investors that it is time to get back into the bond market. And it believes that reports of the death of the 60-40 portfolio are greatly exaggerated. That theory merely has spent time in the freezer, said Vincent Mortier, Amundi’s chief investment officer.

“Bond is back, and not only on screen,” Mortier jokingly told journalists in a media call on Tuesday.

« Positif sur la dette des marchés émergents, mais sélectif »

Les obligations des pays émergents peuvent être sélectivement intéressantes, mais préférez les exportateurs de matières premières aux importateurs. Et les obligations des pays clés d’Europe ont encore leurs mérites.

C’est ce que déclare Jeremy Cunningham (photo), responsable de la gestion obligataire chez Capital Group.

‘Make no mistake: the next six months won’t be pretty’

The era of negative interest rates on government bonds is over, but the moment when government bonds will again generate both portfolio protection and returns is still far away. Especially in Europe, the situation is tough. The ECB has its hands tied. The need to save Italy means Eurozone interest rates can only rise so much. “Make no mistake about it: the next six months won’t be pretty.”

À propos du "Marshallian K

En mai 1999, mon patron d’alors chez Delta Lloyd Securities m’a donné l’occasion de le remplacer à la conférence de BCA Research, une société canadienne indépendante de macro-analyse. J’ai appris en détail l’impact des injections de liquidités monétaires. J’étais loin de me douter que ces connaissances me seraient régulièrement utiles au cours des vingt années suivantes.