"Une meilleure réponse indirecte aux marchés émergents"
Notre allocation est neutre, avec une surpondération des États-Unis. Nous ne sommes pas convaincus que les marchés émergents vont surperformer. Les investisseurs qui souhaitent y être exposés feraient mieux de choisir des entreprises de pays développés qui y opèrent, déclare Steven Vandepitte (ING), stratège chez ING Belgique.
Amundi en tête du top 5 des fonds d’actions japonaises
Sur les quatre premiers mois de 2023, les actions japonaises ont gagné près de 10 % en yens. Mais si l’on tient compte de la dévalorisation de la monnaie japonaise, la hausse n’est plus que de 3 % en euros ; le marché nippon reste donc dans l’ombre des autres marchés développés. Et cette sous-performance se confirme si l’on compare les performances des actions japonaises sur des périodes plus longues : cinq, dix ou quinze ans.
Nordea AM : "Les obligations sécurisées sont l'endroit le plus sûr parmi les obligations".
Les investisseurs sont toujours à la recherche de valeurs refuges et aujourd’hui, la volatilité accrue et les incertitudes liées à l’inflation et aux perspectives économiques les rendent difficiles à trouver. Les obligations sécurisées, également connues sous le nom de covered bonds, sont un segment peu connu du marché qui peut passer pour une valeur refuge.
La clarté de la SFDR est la bienvenue, mais les craintes d'écoblanchiment subsistent
La clarté réglementaire tant attendue sur les exigences en matière d’ESG et de durabilité pour les gestionnaires de fonds et d’actifs semble avoir réduit la confusion qui avait conduit à une dépréciation de quelque 270 milliards d’euros d’actifs sous gestion l’année dernière. Pourtant, certains spécialistes estiment que les allégations d’écoblanchiment qui ont frappé le secteur au cours de l’année écoulée risquent fort de se poursuivre.
« Les Social Bonds restent une zone de croissance »
Isabelle Vic-Philippe souligne la solidité dans l’activité du marché primaire des obligations sociales, une classe d’actifs qui permet de mettre de l’impact obligataire dans les portefeuilles des clients.
Capital Four : « Le marché européen du haut rendement affiche aujourd'hui des prix attrayants »
Les investisseurs hésitent à revenir sur le marché des obligations à haut rendement, car ils craignent qu’une récession n’entraîne la faillite d’entreprises ayant une plus faible cote de crédit. Mikkel Sckerl, gestionnaire de portefeuille chez Capital Four, nous a fait part de son point de vue sur le marché européen des obligations à haut rendement. Il estime cependant que l’avenir de ce segment de marché est clairement plus prometteur.
IO Weekly sur le coût de la gestion active
Actuellement, les coûts sont souvent exprimés en euros, mais Trade Republic préconise de les calculer en pourcentage.
M&G : "Il est encore trop tôt pour saisir les opportunités offertes par l'immobilier".
José Luis Pellicer, responsable mondial de la stratégie chez M&G Real Estate, note que le marché immobilier ne s’est pas encore totalement adapté à la hausse des taux d’intérêt et qu’il vaut mieux attendre et voir pour l’instant. Il se penche également sur les deux moteurs relativement nouveaux de l’immobilier.
KBC : nous sommes maintenant plus prudents sur les actions
Les stratèges de KBC Asset Management ont toujours eu une position neutre sur les actions, mais sont récemment devenus plus prudents. « Nous sommes 5 % en dessous de la pondération normale. »