« Le retour à la moyenne bat son plein »
Beaucoup de valeurs opèrent un retournement. 2023 pourrait bien être l’image inversée de 2022. « Mais nous restons plutôt défensifs et axés sur la valeur. »
C’est ce que déclare Steven Vandepitte (photo), stratège chez ING Belgique. « Du moins pour les premières semaines, 2023 semble être l’image inversée de 2022. Nous n’en sommes qu’à trois semaines, mais nous nous gardons d’être trop bearish. »
Top 5: Candriam leads EM local currency bond funds
For this week’s Morningstar Top 5, we look at the best-performing funds investing in emerging market local currency bonds. These funds ended 2022 with a loss of 9.9 per cent, measured in dollars, or 4 per cent in euros. The outlook for this risky asset class does not seem favourable at first glance, although some fund managers say there are opportunities.
Les investisseurs occidentaux sur le qui-vive face à la boîte de Pandore japonaise
Ce n’est pas Davos, mais Tokyo qui retient l’attention des marchés ce mercredi. La Banque du Japon a défié les attentes du marché plus tôt dans la journée en laissant sa politique de contrôle de la courbe des taux inchangée pour le moment. Toutefois, les marchés se demandent combien de temps la BoJ peut maintenir cette situation alors que les rendements des obligations d’État mondiales augmentent. Le Japon est peut-être assis sur la boîte de Pandore.
ING : les prix de l'énergie sont moins déterminants pour l'inflation en 2023
À court terme, les nouvelles ne vont pas soudainement devenir très positives, c’est pourquoi nous sommes prudents en termes d’allocation. Nous optons pour des secteurs plus défensifs tels que les produits pharmaceutiques et l’énergie. Ainsi que le secteur financier, en raison de la hausse des taux d’intérêt», déclare Peter Vanden Houte (photo), économiste en chef chez ING Belgique.
Analyse : que réserve l’année 2023 aux actions immobilières
En ce qui concerne les perspectives pour 2023, j’avais un scénario particulier en tête. En l’occurrence, un scénario dans lequel les taux d’intérêt à long terme connaîtraient une certaine baisse (grâce à une inflation plus faible), qui devrait permettre aux actions immobilières de récupérer une partie (en soulignant bien ‘une partie’) des lourdes pertes de l’année 2022. Nous rappelons que 2022 a été la deuxième pire année (après 2008 !) pour les actions immobilières depuis 1990.
« La chemise la plus sale la plus propre se trouve aux États-Unis »
À l’heure où la croissance économique ralentit dans les trois grandes économies mondiales, les investisseurs ont intérêt à choisir la région géographique ayant les perspectives les moins sales, a déclaré Mohammed El-Erian, économiste international de premier plan, lors d’une conférence nordique. « La chemise sale la plus propre se trouve aux États-Unis. »
Le marché immobilier belge s'affaiblit
Le marché immobilier belge se calme Actuellement, l’immobilier ne suit plus l’inflation.
C’est ce que montre le Baromètre du notariat. Les transactions ont été moins nombreuses qu’en 2021 et les hausses de prix ont été inférieures au niveau de l’inflation.
« C’est le sweet spot pour 2023 »
En 2022, le gaz et le pétrole donnaient le ton dans les portefeuilles de matières premières. De grandes tendances telles que la réouverture de la Chine et la durabilisation de l’Occident suscitent désormais un mouvement de rattrapage pour les métaux industriels. « Les métaux industriels pourraient devenir le sweet spot de l’année 2023. »
Graphique de la semaine: à propos des rendements négatifs
En 2022, les actions américaines ont chuté de près de 20 %, soit le pire rendement annuel depuis la grande crise financière de 2008. Cela a conduit de nombreux investisseurs à penser que 2023 sera une meilleure année, car les rendements annuels négatifs sont souvent considérés comme rares. Mais dans quelle mesure cette perception est-elle exacte ? Pour mieux comprendre, j’examine de plus près les données historiques.
Baromètre ING des investisseurs : la confiance augmente légèrement
Le baromètre ING des investisseurs pour le mois de décembre montre que les investisseurs sont redevenus légèrement plus optimistes, même si nous ne sommes pas encore sortis du bois.