Les family officers sont souvent prêts à prendre plus de risques que les clients

Les family offices qui assistent les familles belges fortunées semblent plus disposés à prendre des risques que leurs clients. Des techniques astucieuses sont nécessaires pour mettre tout le monde sur la même longueur d’onde. 

Les family officers sont souvent prêts à prendre plus de risques que les clients

Les family offices qui assistent les familles belges fortunées semblent plus disposés à prendre des risques que leurs clients. Des techniques astucieuses sont nécessaires pour mettre tout le monde sur la même longueur d’onde. 

Niko Keters : « Les changements de génération dans les entreprises familiales entraînent une vague de transactions privées »

Le fait qu’un nombre croissant d’entreprises familiales belges ignorent la Bourse pour leur financement est tout à fait logique, estime Niko Keters, consultant chez Amjak. « Sur le marché privé, il est possible de réaliser des transactions plus intéressantes, que vous pouvez également adapter à vos besoins. »

Pareto : un family office sans seuil d’entrée, mais avec un milliard d’euros d’actifs sous gestion

Installé à proximité de Bruxelles, à Zaventem, Pareto Family Office gère plus d’un milliard d’euros d’actifs pour près de 4.000 clients. Une performance remarquable, d’autant plus que la structure n’impose aucun capital minimum à l’entrée. « Nous ne sommes pas réservés à une élite financière », souligne l’entreprise.

Henri Vindevogel : gérer la fortune familiale ajoute une pression supplémentaire

Comment gérer des participations de près de 181 millions d’euros avec une équipe de seulement quatre personnes ? Henri Vindevogel (30 ans), Investment Manager au family office Damier, nous dévoile la recette du succès de la famille.

Anneleen Michiels : les family offices s’ouvrent davantage

À la recherche de financements, un nombre croissant d’entreprises familiales se tournent vers le family office d’une autre famille d’entrepreneurs. « Le lien se crée souvent plus rapidement qu’avec le capital-investissement », explique Anneleen Michiels, experte à l’université d’Hasselt.

Le Code Buysse IV, un outil pour améliorer la gouvernance dans les entreprises familiales

Les entreprises familiales non cotées sont souvent confrontées à un casse-tête : comment organiser les contrôles et assurer un équilibre des pouvoirs ? Et quid de l’arrivée d’un investisseur externe (dans le cadre du capital-investissement, par exemple) ? La quatrième version du Code Buysse, qui présente des lignes de conduite actualisées en matière de bonne gouvernance pour les entreprises non cotées, vient de paraître. Lors d’un entretien, Maître Jozef Lievens nous présente les nouveautés introduites.