Europe is much less attractive than the US
Europe’s energy supply is under severe pressure, and the 8.9% inflation rate in the eurozone seems to be cushioned only by sharp increases in interest rates, which could push the European economy into recession. Is Europe still the continent you want to be in as an investor?
Although the European economy had a relatively good second quarter, with economic volumes up 0.7% on the first, concerns for the second half of the year remain high.
Des stratégies d’actions défensives pas aussi défensives que le suggère leur commercialisation
Bien que les stratégies d’actions défensives aient offert une certaine protection au cours de précédentes périodes de marchés baissiers, certains de leurs résultats sont décevants cette année. Les stratégies ‘Quality Growth’, tout particulièrement, ont enregistré des résultats bien inférieurs au marché.
C’est ce que révèle une étude de Bfinance sur les performances des stratégies d’actions défensives pendant huit baisses de marché, dont celle de janvier à juin cette année.
L'Europe est beaucoup moins attrayante que les États-Unis.
L’approvisionnement énergétique de l’Europe est soumis à de fortes pressions, et le taux d’inflation de 8,9 % dans la zone euro ne semble pouvoir être amorti que par de fortes hausses des taux d’intérêt, ce qui pourrait précipiter l’économie européenne dans la récession. L’Europe est-elle encore le continent où vous voulez être en tant qu’investisseur ?
Argenta : les marchés sont trop complaisants
Les marchés ont été particulièrement optimistes ces dernières semaines, mais une nouvelle hausse des taux est prévue en septembre. « Par conséquent, dans un profil neutre, nous sommes sous-pondérés en actions ».
C’est ce qu’affirme Matthieu De Coster (photo), stratège chez Argenta, dans un entretien avec Investment Officer.
Graphique de la semaine : l'avertissement sur les bénéfices de Walmart est un signal d'alarme
Le géant de la distribution Walmart a émis un nouvel avertissement sur ses bénéfices la semaine dernière. Et les raisons sous-jacentes pointent vers une économie américaine stagnante.
Walmart a souligné un changement dans les habitudes de dépenses des consommateurs américains. En raison de la hausse continue des prix des denrées alimentaires, les Américains n’ont plus d’argent pour d’autres achats. Afin de se débarrasser du stock croissant, Walmart doit baisser considérablement ses prix, ce qui entraîne une baisse des bénéfices.
Quintet : « La technologie reste une conviction forte »
Les spécialistes de Quintet (Puilaetco) soulignent cinq grandes tendances qui doivent guider les allocations des portefeuilles pour les prochains mois, avec une prédilection pour les actions, les actifs privés et certains segments obligataires.
« Les entreprises asiatiques pourront surperformer »
L’Europe et les États-Unis vont connaître une récession au second semestre de l’année. En Asie cependant, l’avenir semble plus positif après une série de confinements stricts en Chine, et les semi-conducteurs sont le thème d’investissement asiatique de prédilection.
Ethenea’s Siviero sees Swiss franc, yen as safe havens
With a recession looming in Europe, investors again are on the lookout for suitable safe havens. Ethenea’s investment strategist Andrea Siviero, who co-manages the firm’s 60 million euro «Hesper Fund - Global Solutions», believes the Swiss franc and the Japanese yen are well placed to take up this role, as the fund has taken a position on December 2023 Euribor futures in anticipation that the ECB won’t be able to further raise rates next year as much as currently discounted by the market.
KBC : « Une récession plus forte n’a pas été anticipée »
Les stratèges de KBC sont sous-pondérés en actions comme en obligations. S’ils étaient même très fortement sous-pondérés en obligations, ils ont récemment commencé à construire leurs positions. « Les marchés n’anticipent pas encore une récession plus forte. »
Jan Vergote : les banques centrales dansent sur une corde raide
Ce que nous attendons des banques centrales aujourd’hui n’est pas une tâche facile : elles doivent refroidir l’économie en augmentant les taux d’intérêt, alors que la guerre en cours maintient les prix (l’inflation) élevés (voire les augmente encore).