Une fusée à trois étages propulse les actions en 2021-22
« Quand les faits changent, je change d’avis. Et vous, monsieur ? » La version anglaise de cet aphorisme est attribuée à Keynes. Je doute qu’il l’ait exprimé ainsi, car bien que ces sages paroles soient souvent citées, elles ne vous sont d’aucune utilité. Il y a constamment de nouveaux faits. À partir de quel moment les faits ont-ils suffisamment changé pour justifier un changement d’avis ?
Analyse : Le plus grand bloc commercial du monde en Asie
Le week-end dernier, les 15 pays de l’ASEAN ainsi que l’Australie, la Chine, le Japon, la Nouvelle-Zélande et la Corée du Sud ont signé le Partenariat économique régional global (PREG), qui a donné naissance au plus grand bloc commercial du monde. Au terme de près de dix années de négociations, il s’agit d’une nouvelle étape dans la poursuite de l’intégration économique de la région Asie-Pacifique.
Qui est gagnant avec les ‘Top Picks’ ?
L’une des tâches d’un analyste boursier est de convertir des informations et des chiffres en opinion claire, en fonction de la société de bourse, de l’achat à la vente. Quelle est l’importance de ces notations ? Mon avis est que la pertinence des analystes boursiers en tant que source d’information est surévaluée. En effet, les analystes se concentrent sur une durée maximale d’un an, alors que l’investissement crée un effet à long terme (par exemple 5 à 10 ans), si l’on tient compte de la relation entre risque et rendement.
Performances boursières et Covid-19 : quel est le lien ?
Comment expliquer les performances boursières pendant cette pandémie ? Nous pouvons répondre à cette question de deux manières différentes. Tout d’abord, en examinant une période de l’histoire (récente) durant laquelle la même chose s’est produite : la grippe espagnole de 1918.
Deuxièmement, en élargissant notre vision en nous focalisant sur d’autres groupes d’actifs : les futures sur dividende.
Hausse dans les fonds immobiliers
En raison des faibles taux d’intérêt et des pressions inflationnistes, les portefeuilles doivent être investis différemment, ce qui augmente la pression au rendement.
En tant que régulateur, nous entendons également ces bruits et pouvons bien imaginer que la pression au rendement se fait sentir. Nous comprenons qu’un portefeuille doit apporter une valeur ajoutée au client, mais il est à cet égard très important de continuer à réfléchir au risque acceptable pour tel ou tel client, surtout maintenant.
Analyse : pourquoi il faut profiter maintenant des faibles taux d'intérêt
La semaine dernière, je m’exprimais ici à propos des taux d’intérêt. Je citais deux articles affirmant que les taux d’intérêt resteront très bas beaucoup plus longtemps encore, et peut-être même ‘toujours’. J’encourageais également les investisseurs et les gestionnaires de fonds de pension à réfléchir à ce que cela signifie. J’aimerais moi-même me pencher sur la question.
Gertjan Verdickt : Les trois jours du FOMC
Les taux d’intérêt à long terme se trouvent actuellement à des niveaux très bas, ce qui n’est pas une grande surprise. Le rendement d’une obligation d’État américaine à 10 ans est passé de 10,1 % en 1980 à 2,4 % en 2017. À titre de comparaison, le rendement des dividendes du S&P 500 n’a baissé que de 3,7 % sur cette période.
Dieperink : il est important de choisir les bons gestionnaires après la crise
Les performances passées ne sont pas une garantie pour le futur. Lors de la sélection des gestionnaires actifs, les bons résultats du passé sont souvent le signe avant-coureur de résultats décevants dans le futur. En effet, la distinction entre la prise de risque (bêta) et l’alpha n’est pas facile, surtout après dix ans de marché haussier. Cependant, comme je ne connais personne qui fasse le contraire, je cherche des gestionnaires à la traîne.
It's the dollar, stupid!
Central banks and governments around the world are once again engaged in a ‹currency devaluation› contest. The US dollar has been on a sharp downward trend in recent weeks. This has had a significant impact on financial and real assets.
The chart below, which we borrowed from Hong Kong investor Puru Saxena and goes back all the way to 1980, suggests the dollar indeed is on a long-term downtrend.
L'or: valorisable ou relique barbare ?
L’or augmente discrètement, mais de nombreux observateurs du marché restent sceptiques face à ce ‘stealth bull market’, qui a tout de même débuté dès 2001. Cela est principalement dû au fait qu’ils partent du principe que l’or ne peut être valorisé. Quod non.