Probably the best and worst year ever for bonds

This will probably be the worst but also the best year for bonds ever. Rising interest rates and credit spreads are causing hefty price losses. Inflation is a bond investor’s worst enemy and it is skyrocketing. The fact that interest rates and credit spreads are rising fast is good for bond investors in the long run. Panic and volatility always create opportunities.

La pire et la meilleure année pour les obligations

Ce sera probablement la pire mais aussi la meilleure année pour les obligations. La hausse des taux d’intérêt et des spreads de crédit entraîne des pertes de prix considérables. L’inflation est le pire ennemi des investisseurs obligataires et elle monte en flèche. Le fait que les taux d’intérêt et les écarts de crédit augmentent rapidement est une bonne chose pour les investisseurs obligataires à long terme. La panique et la volatilité créent toujours des opportunités.

« L'or est et demeure une police d'assurance contre le chaos »

Le prix de l’or est en difficulté depuis le début de l’année et cote sous les 1700 dollars l’once, une tendance résolument baissière. « Tant que les taux d’intérêt américains réels augmentent, je reste maintenant tactiquement sous-pondéré en or. »

C’est ce qu’affirme Jan Longeval (photo), consultant indépendant, Senior advisor chez Eurinvest Partners et auteur de ‹Heavy Metal›, un livre consacré aux métaux précieux et à la politique monétaire, lors d’un entretien avec Investment Officer Belgique.

Les cours des actions chutent de 20 à 30 % par rapport à leur sommet

Le consensus sur les marchés financiers est très loin de la réalité. La raison : une inflation plus élevée que prévu et la crainte que la Fed américaine augmente une nouvelle fois les taux d’intérêt de 75 points de base. Cette politique stricte en matière de taux d’intérêt se fera au détriment de la valorisation des actions. D’autres, citant l’histoire, mettent en garde contre un mouvement latéral prolongé du S&P

Graphique de la semaine : le prochain domino du marché immobilier

L’activité sur le marché immobilier américain connaît une baisse rapide. Les ventes de logements neufs ont chuté de plus de 12 % en juillet, la plus forte baisse depuis février de l’année dernière. Il s’agissait également de la sixième baisse en sept mois. Par rapport au sommet, la vente de logements neufs a chuté de 51 %.

Les investisseurs sont très pessimistes, il y a déjà beaucoup de choses dans les prix.

Certains facteurs soutiennent actuellement les actions : les conditions financières se sont améliorées et les investisseurs sont déjà très pessimistes, ce qui constitue généralement un bon signal d’achat contrariant. Le pic de l’inflation américaine est probablement déjà passé et de nombreux indicateurs laissent présager une baisse de l’inflation dans les mois à venir. 

Aimer les obligations ? Oui, selon Amundi

Il est temps de revenir sur le marché obligataire. C’est ce que dit Amundi, le plus grand gestionnaire d’actifs d’Europe, à ses clients. Les rapports selon lesquels le portefeuille 60/40 est mort ont été largement exagérés. Cette théorie n’est au congélateur que depuis un certain temps, juge Vincent Mortier, directeur des investissements chez Amundi.